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par Serge MAUPOUET le Jeudi 23 Juillet 2015 à 17:00 Saintes, le 23 juillet 2015 Communiqué de presse du MRC Saintes Coupes budgétaires drastiques: le Conservatoire municipal de Saintes est lui aussi placé sous cette contrainte Le Magazine Mensuel Municipal Saintes n°4 de juin 2015 titrait en page de couverture „La ville où l'on fait de la musique ensemble“. La page 10 était consacrée au Conservatoire, avec ce titre et ce sous-titre : „Le conservatoire: fortissimo. Un équipement communal dynamique.“ Fort bien, mais le constat dressé est-il celui de l'actualité, de l'avenir ou du passé ? En effet, à bien y regarder de près, le fortissimo annoncé risque d'être fortement réduit par les contraintes budgétaires. Quelle est en effet la situation budgétaire, telle qu'on peut la connaître suite aux Conseils d'Etablissement de février et juillet 2015 ? Un budget „Ressources humaines“ tenu serré, un budget d'investissement subissant une coupe sombre avec une baisse autour de 50% et un budget de fonctionnement hors ressources humaines affecté d'une réduction drastique autour de 20%. Quels sont les effets déjà visibles des coupes budgétaires imposées ? D'après les éléments donnés en Conseil d’Etablissement, des déplacements modifiés dans leurs modalités ou annulés, ainsi un co-voiturage demandé aux parents en remplacement d'un transport collectif pour se rendre à Cognac dans le cadre d'un échange d'orchestre, le renoncement à un déplacement pour les danseuses à la Coursive de La Rochelle ; une programmation revue à la baisse avec une réduction du dimensionnement de l'Aiguille creuse, le concert prévu à l'amphithéâtre ayant été abandonné quand la réalité du nouveau budget a été connue. Des concerts supprimés, dont de professeurs et pour les scolaires, le renoncement à des master-classes … Quels sont les effets à redouter à moyen terme si une telle situation budgétaire contrainte se prolongeait ? Tout d'abord, il est possible d'escompter que la commande du grand spectacle bi-annuel, dont l'Aiguille creuse a donné une illustration cette année et dont la qualité est reconnue, ne puisse être permise dans le format qui a été rendu possible jusqu'ici. Mais ensuite, d'autres interrogations se posent, et en particulier celle concernant l'agrément du conservatoire si la Ville souhaite la pérennité de cette labellisation. En outre, l'annonce – dans ce contexte de coupes budgétaires – d'un travail de "simplification“ de la grille tarifaire et “d'harmonisation“ des tarifs avec des conservatoires de taille comparable à celui de Saintes est faite. L'utilisation d'un tel vocabulaire alors que la municipalité vient d'imposer des baisses drastiques de ses financements n'annonce-t'elle pas des hausses tarifaires à venir qui seraient supportées par les usagers, sinon même des demandes de participation financière pour assister à certains spectacles reposant pourtant très largement sur le bénévolat des élèves et de leurs familles ? On conçoit que la plus grande vigilance soit de mise. Il est crucial de préserver et développer les capacités, le dynamisme, l'ouverture à la diversité des publics d'une institution qui assume tout à la fois une mission pédagogique, une mission culturelle et une mission sociale. Contacts : Serge MAUPOUET, Secrétaire départemental du MRC 17 - Téléphone : 06 46 24 73 19 |
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par Serge MAUPOUET le Dimanche 17 Mai 2015 à 17:00L'affaire de l'acquisition – « en catimini » pour reprendre l'expression d'une élue de l'opposition –, par la ville de Saintes d'un 4x4 de fonction pour le confort du Maire, prétendument pour faire réaliser « des économies » à la collectivité, mais avec une « erreur de procédure » reconnue par une déclaration du Maire, et alors qu'une politique d'austérité est menée à l'échelle de la Ville, est affligeante à tous points de vue. Les nombreux articles de presse – régionale ou nationale – autour de cette affaire le démontrent clairement : on aurait évidemment aimé meilleure publicité pour la Ville de Saintes.
S'il faut prendre acte, de la part du Maire, de ses regrets exprimés et du rachat par lui annoncé du véhicule, sa très courte déclaration sans possibilité laissée à la moindre question-réponse de la part de la presse ne peut lui donner quitus sur le plan du fonctionnement de la démocratie locale ; il est en de même des postures publiques de désolidarisation de certains adjoints, alors que le soutien au Maire est ensuite réaffirmé à la sortie d'une réunion de crise.
Ces pirouettes visant au rétablissement précaire d'une situation politique en réalité largement compromise, sont-elles moins affligeantes que l'affaire elle-même ? On voit mal, en effet, comment la gestion municipale pourrait se poursuivre dans un climat serein sur le moyen terme après une telle secousse, et alors que la défiance envers l'exécutif municipal est large.
D'autant que plusieurs membres de la majorité, et non des moindres, n'ont pas manqué de considérations très négatives, reprises dans la presse, à l'encontre de la manière générale de travailler du Maire ! Aussi, il est évident que la majorité municipale commet une faute politique en décidant de ne rien changer à la tête de la municipalité : faute politique pour la majorité, ce qui la regarde, mais faute politique pour la Ville, ce qui concerne tous les Saintais. En effet, ou celui qui exerce la fonction de Maire est la bonne personnalité pour cette fonction et les critiques lourdes émises par ses adjoints et des conseillers municipaux de la majorité ne sont pas en adéquation, ou les critiques lourdes sont fondées et c'est la décision de ne pas changer de personnalité pour exercer la fonction de Maire qui n'est pas en adéquation.
On voit que la majorité municipale s'est donc enfermée toute seule dans la contradiction qu'elle a elle-même créée par l'attitude personnelle de la personnalité portée à la fonction de Maire par la majorité municipale, par la puissance des propres critiques des membres de cette majorité envers son propre Maire d'une part et par la confiance maintenue par elle au Maire d'autre part ; en refusant de sortir de cette contradiction, et croyant s'être dégagée de l'affaire du 4x4 en prolongeant sa confiance au Maire, elle va en réalité traîner cette affaire symptomatique comme un boulet au pied. Cette situation bancale, contradictoire et non résolue va nuire à la gestion sereine de la Ville tant qu'elle ne sera pas tranchée : dans l'attente de cette résolution, c'est toute la majorité municipale qui va en porter la responsabilité politique. Peut-être certain de ses membres vont-ils en prendre conscience ?
En outre, il convient sans doute d'élargir la vision des choses et de les remettre en perspective : ce genre de révélation est-il si surprenant au vu des conceptions idéologiques de la droite de l'Argent ? Des représentants de la droite saintaise avaient vraisemblablement eux-mêmes mesuré l'idéologie sous-jacente liée à plusieurs des principales personnalités de la liste Machon : l'inquiétude existait déjà, au sein même des forces de droite, autour de la ligne idéologique de ces personnalités. Il y a ceux qui avaient ouverts les yeux en amont, et parfois dès la campagne des municipales, il y en a d'autres qui ne les ouvrent qu'aujourd'hui – ou alors qui choisissent de rendre publique l'ouverture de leurs yeux seulement à l'occasion de cette affaire.
Quoiqu'il en soit, le problème politique est posé, et non pas uniquement sur le comportement d'une personnalité : en effet, ce comportement est rendu possible par une ligne idéologique. Des acteurs issus de la liste Machon ont tenté de réduire cet événement au comportement d'une personne, mais cette personne, au vu des fonctions qu'elle remplit, aurait-elle pu avoir un tel comportement si ses repères idéologiques lui avaient clairement marqué la ligne rouge qu'elle était en train de franchir ? Aurait-elle pu prendre une telle décision si les autres principales personnalités de la liste n'avaient pas laissé se mettre en place un fonctionnement tel, à la mairie, qu'il a conduit à un dysfonctionnement majeur ? Par conséquent, l'affaire du 4x4 n'est pas si facilement réductible à une personnalité, elle est bien plus révélatrice d'un problème politique global affectant la majorité municipale saintaise.
Nous n'avons eu de cesse, depuis plus d'une année, d'écrire que la droite portée au pouvoir à Saintes – dans les conditions politiques très spécifiques que l'on sait – notamment en plusieurs de ses principales personnalités, est bien une droite dure, une droite de l'Argent, placée sur une ligne politique bien différente de celle qui caractérisait la droite de l'Honneur et dont pouvait se réclamer le gaullisme.
La crise actuelle, par les réactions qu'elle provoque au sein de la majorité municipale est aussi à lire par cette grille de lecture avec une double division.
Première division : division au sein des personnalités de la droite de l'Argent, certaines souhaitant se dissocier d'une décision tellement inacceptable du Maire que ces personnalités sentent qu'elles doivent ne pas y être associées, alors qu'elles sont pourtant en accord idéologique avec la ligne politique du Maire ce qui les conduit à réitérer leur soutien global. Grand écart !
Deuxième division : division entre la droite de l'Argent, qui tient les manettes au niveau de la municipalité, et une droite qui a d'autres valeurs. Certains se sont portés dans la liste Machon et se trouvent enfermés à compter de maintenant dans une contradiction non résolue, mais d'autres ont refusé d'y être. Cette autre droite continuera-t-elle à accepter la situation présente de non résolution de la crise politique alors qu'elle porte préjudice à toute la Ville ?
Le MRC et la gauche continuent le combat politique, aux côtés de nos concitoyens, pour la défense des véritables intérêts de la Cité et des habitants. Au MRC, nous n'avons eu de cesse d'écrire, dès le lendemain de l'élection municipale, qu' « Il y aura des lendemains qui déchantent » et ils sont malheureusement bien là, à peine une année après l'élection et avec une profondeur telle que la droite détentrice de l'exécutif municipal a fait parler de Saintes dans la presse nationale d'une manière bien peu flatteuse, à cause d'une décision du Maire mais aussi d'un mode de fonctionnement instauré au sein de la majorité municipale visiblement inadapté à la gestion sereine de la collectivité.
Il ne faut pas occulter que le Maire de Saintes est aussi président de la Communauté d'Agglomération (CdA de Saintes) et que les observateurs de la vie politique savent très bien que des tensions fortes existent aussi entre des élus de la CdA et le président de celle-ci, pour des raisons liées au mode de fonctionnement instauré, ce qui a un lien évident avec la situation révélée à Saintes. Y aura-t-il des prolongements au niveau de l'intercommunalité ?
Cet événement révélateur est par conséquent lourd de sens, et l'ensemble des significations et conséquences politiques de cette affaire reste encore à tirer.
Contacts : Serge MAUPOUET, Secrétaire départemental du MRC 17 - Téléphone : 06 46 24 73 19
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par Serge MAUPOUET le Vendredi 6 Mars 2015 à 17:00
Le MRC 17 a adressé une lettre, par courriel, aux Maires de Charente-Maritime.
Nota bene: la version de la lettre reproduite pour information citoyenne sur notre site est adressée de manière générale à "Madame la Maire / Madame le Maire, Monsieur le Maire", toutefois les lettres envoyées l'ont bien été individuellement à l'attention de "Madame la Maire de ", "Madame le Maire de ", "Monsieur le Maire de " chaque commune de notre département.
Nous avons reçu des réponses écrites de Monsieur le Sénateur de Charente-Maritime et Maire de Montendre, Monsieur Bernard Lalande, ainsi que de Monsieur le Maire de La Rochelle, Monsieur Jean-François Fountaine.
aux Maires de Charente-Maritime
Le Secrétaire départemental du MRC 17 à Madame la Maire / Madame le Maire
Monsieur le Maire
Madame le Maire, Monsieur le Maire,
Le Mouvement Républicain et Citoyen est attaché à une organisation du territoire national porteuse de l’Histoire de la République et enracinée dans le tissu dense des communes dont les élus assurent au quotidien le fonctionnement démocratique.
Pour toute réforme territoriale, il parait essentiel de prendre le temps de la concertation avec les élus locaux afin d’aboutir à une adaptation concertée du territoire aux vraies évolutions économiques, démographiques et sociales vécues par nos concitoyens.
L'organisation d'un grand débat public qui pourrait s’appuyer sur des assises de la réforme territoriale nous semble nécessaire ; la consultation des populations, le cas échéant par référendum local à l’issue d’un tel processus, est la seule voie possible pour créer un consensus et contrer le sentiment actuel d’un « détricotage » du territoire national.
La recherche d’une meilleure efficacité du service public, en milieu rural comme en milieu urbain, doit s’appuyer sur la proximité.
En ce sens le MRC reste convaincu du rôle essentiel des départements dans la mise en œuvre des politiques sociales ; le département est le garant de l’équité territoriale entre territoires ruraux et urbains et par ailleurs l’échelon de la proximité entre les citoyens et les élus, ancrés dans les réalités quotidiennes. Nous souhaitons le maintien de la clause générale de compétence qui ouvre la voie à des partenariats locaux souvent fructueux entre collectivités.
Dans le même esprit, le MRC propose un bilan sérieux de l’intercommunalité telle qu’elle a été mise en place par la loi Chevènement de 1999 ; nous restons en effet persuadés que la création des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale a pu remédier à un certain éparpillement des réalisations communales, et a permis une organisation plus rationnelle et plus efficace des territoires ruraux.
Pour garantir le rôle de proximité des élus communaux et communautaires dans les territoires ruraux, nous pensons que les EPCI doivent garder une taille raisonnable, entre 20 à 30 communes au maximum, et regrettons la multiplication du seuil minimum d’habitants par quatre (de 5.000 à 20.000), ce qui conduit à une gestion de l’intercommunalité plus éloignée des citoyens et dans laquelle le rôle des élus locaux s’en trouve complexifié.
Si nous sommes convaincus que le modèle républicain que nous défendons doit s’adapter aux évolutions de la société contemporaine, après des processus de concertation permettant de redonner confiance aux citoyens dans la décision publique, nous nous opposons à toute « fédéralisation » du territoire national autour de grandes régions, baronnies locales, gommant à terme les départements.
Le MRC réaffirme enfin la nécessité d’un maintien de la présence de l’Etat territorial, aujourd’hui très affaibli par la disparition de services de proximité ; le rôle de l’Etat républicain, garant de l’Intérêt général comme de l’égal accès des citoyens aux services publics, reste pour nous essentiel aux côtés des élus locaux.
Je vous prie de recevoir, Madame le Maire, Monsieur le Maire, l’assurance de notre vigilance républicaine aux côtés des élus locaux.
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par Serge MAUPOUET le Vendredi 28 Novembre 2014 à 17:00repartir des citoyens et construire avec eux
L'animatrice du débat, Martine Souvignet, Secrétaire nationale du MRC, a dans un premier temps exposé la situation liée à la réforme en cours, telle qu'on peut la connaître puisque seule la nouvelle carte régionale – bingo territorial effectué „à la barbe des citoyens“, et loin de faire consensus – a été adoptée, sans que la question cruciale de la redistribution des compétences entre les collectivités ne soit encore tranchée. Elle a ensuite évoqué l'accentuation des fractures sociales et territoriales depuis trois décennies. Si notre pays a, avant tout, besoin de retrouver la confiance en lui et la prospérité, les modalités proposées permettent-elles de s'engager dans cette voie ? En outre, il est essentiel que les adaptations de la décentralisation ne portent pas atteinte au modèle républicain et que nos principes constitutionnels soient respectés. Martine Souvignet a posé le constat que, devant les conditions dans lesquelles la réforme est menée, le citoyen est interloqué, sans savoir où les évolutions proposées vont entraîner la République, d'autant qu'aux propositions initiales radicales succèdent parfois - pas toujours ! - des modifications notables. Dans un second temps, Martine Souvignet a développé les propositions alternatives du MRC concernant le développement de la coopération interrégionale et la nécessaire préservation du triptyque communes/département/Etat, tout en permettant les adaptations nécessaires, en particulier là où des métropoles sont en constitution : pour éviter l'atrophie d'un département, la solution peut consister un en regroupement avec un département voisin. Concernant la méthode : mieux valent des évolutions de proche en proche qu'une réforme précipitée.
Le débat s'est engagé avec et dans la salle. Il a permis un large tour d'horizon des problématiques liées tant à l'évolution de la décentralisation, qu'à la déconcentration des services de l'Etat, mais aussi des questions relatives à l'implication des citoyens et des élus dans la vie politique locale, et, très concrètement, des conséquences sur la vie quotidienne de l'accentuation des fractures entre les espaces centraux des villes et les espaces périurbains, entre ces espaces urbains et le monde rural. Si certains ont souhaité une adaptation rapide des institutions décentralisées selon le rythme des évolutions européennes, beaucoup ont considéré que la recherche d'économies massives ou la refonte des territoires ne devaient pas servir de prétexte pour porter atteinte aux principes fondateurs de la République, aux missions des services publics, des collectivités, de l'Etat, aux institutions républicaines. Concernant les communes, les échanges ont permis de souligner la nécessité de les aider à porter les actions qu'elles souhaitent mettre en place au bénéfice des habitants : l'intercommunalité continue à être porteuse de promesses si elle ne dérive pas vers un nouveau niveau de collectivité territoriale qui se constituerait au bénéfice principal des villes-centres.
Face aux défis d'une réforme territoriale qui désarticule plus qu'elle ne restructure, le MRC 17 et plusieurs intervenants ont proposé une autre manière de faire, consistant à repartir des citoyens et à construire avec eux une véritable démarche de progrès respectueuse des fondamentaux républicains et ouvrant sur un meilleur avenir.
Contacts : Serge MAUPOUET, Secrétaire départemental du MRC 17 - Téléphone : 06 46 24 73 19
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par Serge MAUPOUET le Lundi 1 Juillet 2013 à 22:30Communiqué de presse du MRC Saintes
Le rassemblement de la gauche à Saintes: une nécessité !
Le MRC Saintes considère que le rassemblement de la gauche pour les prochaines élections municipales est une nécessité.
Nous ne pouvons faire autrement que constater un certain nombre d'initiatives ou de prises de position récentes qui – si elles étaient appelées à se prolonger – pourraient mener à une situation où les forces de gauche se présenteraient en ordre dispersé au suffrage.
Or, nous considérons qu'un scrutin de liste doit permettre une représentation des différentes sensibilités de gauche sur les listes à construire, pour autant que les personnalités qui sont susceptibles de conduire ces listes aient la volonté de pratiquer l'ouverture et de rassembler largement à gauche.
Aussi, en ce qui le concerne, le MRC Saintes a décidé de s'engager clairement dans une démarche de rassemblement de la gauche et de participer à des initiatives ou à des projets qui lui paraîtront devoir favoriser la réalisation de cet objectif.
Nos concitoyens attendent beaucoup de la gauche ; et avant toute chose que ses composantes agissent de manière à faire prévaloir l'intérêt général. Promouvoir les valeurs de la gauche, mettre en application au niveau local les principes de solidarité, de justice sociale, d'humanisme, de laïcité – et garder pour cela l'exécutif municipal hors des mains des tenants du conservatisme – sera possible par un large rassemblement des forces de gauche. Le MRC Saintes a la ferme volonté de contribuer à sa constitution.
MRC - Fédération de Charente-Maritime
75, rue de L'Epineuil 17100 Saintes
06 46 24 73 19
Email : mrc17@laposte.net
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