Communiqué de presse
En ornithologie, nous connaissons le coucou gris, cette espèce d’oiseau connue pour pondre ses oeufs dans le nid des autres. À BELFORT, nous avons le MESLOT.
A la suite de l’annonce d’un investissement massif de General Electric à BELFORT, dont il faut se réjouir, nous ne pouvons que rappeler à Damien MESLOT que ce n’est pas le fait de son action. Le développement de General Electric à BELFORT, c’est le fruit de la politique de soutien à l’activité économique menée depuis plusieurs décennies à BELFORT par la majorité précédente. Non, General Electric n’est pas arrivé avec lui en 2014.
A moindre échelle, encore à grands coups et coûts de communication, Damien MESLOT nous a annoncé que grâce à son action, un commerce de proximité allait rouvrir ses portes à la Pépinière. Nous ne pouvons qu’être satisfaits, là aussi, qu’il reprenne à son compte ce qui lui avait été suggéré il y a deux ans par son opposition actuelle, après l'avoir pourtant refusé jusqu’alors. Réjouissons-nous pour les habitants de la Pépinière, mais ce sont deux années que nous venons de perdre en palabres.
Damien MESLOT avait mis moins de temps à se positionner sur le rachat par la Ville du Restaurant l’Allégria en VIEILLE VILLE, jugé récemment illégal par le Préfet ; rachat dont on ne cernait d'ailleurs pas très bien quelle en était la finalité !
Fédération MRC-Aire Urbaine
A la suite de l’annonce d’un investissement massif de General Electric à BELFORT, dont il faut se réjouir, nous ne pouvons que rappeler à Damien MESLOT que ce n’est pas le fait de son action. Le développement de General Electric à BELFORT, c’est le fruit de la politique de soutien à l’activité économique menée depuis plusieurs décennies à BELFORT par la majorité précédente. Non, General Electric n’est pas arrivé avec lui en 2014.
A moindre échelle, encore à grands coups et coûts de communication, Damien MESLOT nous a annoncé que grâce à son action, un commerce de proximité allait rouvrir ses portes à la Pépinière. Nous ne pouvons qu’être satisfaits, là aussi, qu’il reprenne à son compte ce qui lui avait été suggéré il y a deux ans par son opposition actuelle, après l'avoir pourtant refusé jusqu’alors. Réjouissons-nous pour les habitants de la Pépinière, mais ce sont deux années que nous venons de perdre en palabres.
Damien MESLOT avait mis moins de temps à se positionner sur le rachat par la Ville du Restaurant l’Allégria en VIEILLE VILLE, jugé récemment illégal par le Préfet ; rachat dont on ne cernait d'ailleurs pas très bien quelle en était la finalité !
Fédération MRC-Aire Urbaine
Commentaires (0)
Communiqué de presse
Un réseau unique de transport pourrait être une bonne nouvelle pour l'ensemble des habitants de l'Aire urbaine. Depuis de nombreuses années, le MRC demandait que soit créé un réseau unique de transport à l'échelle de l'Aire urbaine. Le choix d'installer le SMTC à la Jonxion s'inscrivait d'ailleurs dans cette volonté. C'est aussi cette ambition que nous avons portée avec d'autres élus de gauche du département pour éviter la réduction des services et l'augmentation des tarifs qui ont été décidés récemment par les élus de droite.
Mais cette annonce très médiatique ne donne à ce stade aucun éclairage sur la nature et les contours du projet. Quel mode de gestion sera retenu ? Sera-t-il sur le modèle de la gestion publique comme à Belfort ou celui de la privatisation au profit d'une multinationale comme à Montbéliard ? Qui supportera les plus de 100 Millions d'euros du projet EvolitY de Montbéliard en cours ? Quels seront les tarifs ? Ceux plus bas de Belfort ou ceux de Montbéliard ? Idem pour le versement transport prélevé sur les entreprises supérieur à Montbéliard ? Quels seront les fréquences et les parcours des lignes ? Comment seront desservis les territoires ruraux ? Quel avenir pour les conducteurs et salariés des entreprises de transport ? Le même que celui réservé à la centaine de femmes et d'hommes qui ont perdu leur emploi depuis l'arrivée de la droite à Optymo ? Quel est le calendrier du projet, quels sont les moyens d'étude, qui composera le comité de pilotage, comment s'organisera la concertation ?
Toutes ces questions sont essentielles pour bien mesurer l'impact de l'annonce qui vient d'être faite. Celle-ci pourrait déboucher sur un projet moteur pour l'avenir de l'ensemble de l'Aire urbaine, un projet économique, social et écologique que le MRC soutiendrait favorablement. Mais, aujourd'hui, l'absence de réponses concrètes de messieurs Meslot et Demouge aux différentes questions qui entourent l'annonce n'a rien de rassurant. D'ailleurs, la même annonce avait été faite au lendemain des élections municipales. Que s'est-il passé concrètement depuis plus de deux ans ?
Mouvement Républicain et Citoyen
Fédération Aire urbaine
Mais cette annonce très médiatique ne donne à ce stade aucun éclairage sur la nature et les contours du projet. Quel mode de gestion sera retenu ? Sera-t-il sur le modèle de la gestion publique comme à Belfort ou celui de la privatisation au profit d'une multinationale comme à Montbéliard ? Qui supportera les plus de 100 Millions d'euros du projet EvolitY de Montbéliard en cours ? Quels seront les tarifs ? Ceux plus bas de Belfort ou ceux de Montbéliard ? Idem pour le versement transport prélevé sur les entreprises supérieur à Montbéliard ? Quels seront les fréquences et les parcours des lignes ? Comment seront desservis les territoires ruraux ? Quel avenir pour les conducteurs et salariés des entreprises de transport ? Le même que celui réservé à la centaine de femmes et d'hommes qui ont perdu leur emploi depuis l'arrivée de la droite à Optymo ? Quel est le calendrier du projet, quels sont les moyens d'étude, qui composera le comité de pilotage, comment s'organisera la concertation ?
Toutes ces questions sont essentielles pour bien mesurer l'impact de l'annonce qui vient d'être faite. Celle-ci pourrait déboucher sur un projet moteur pour l'avenir de l'ensemble de l'Aire urbaine, un projet économique, social et écologique que le MRC soutiendrait favorablement. Mais, aujourd'hui, l'absence de réponses concrètes de messieurs Meslot et Demouge aux différentes questions qui entourent l'annonce n'a rien de rassurant. D'ailleurs, la même annonce avait été faite au lendemain des élections municipales. Que s'est-il passé concrètement depuis plus de deux ans ?
Mouvement Républicain et Citoyen
Fédération Aire urbaine
Communiqué de presse
La visite d’Albert Grimaldi pose trois grandes difficultés :
D’abord, le « Comte de Belfort » n’existe plus. Il n’est pas acceptable que les élus de la République, au premier rang desquels M. Meslot, député de la Nation, reconnaissent à leur hôte le titre de « Comte de Belfort » qui a été aboli en même temps que tous les titres de noblesse le 19 juin 1790 en ces termes : « L'Assemblée nationale décrète que la noblesse héréditaire est pour toujours abolie ; qu'en conséquence, les titres de prince, de duc, de comte, de marquis, vicomte, vidame, baron, chevalier, messire, écuyer, noble, et tous autres titres semblables, ne seront ni pris par qui que ce soit, ni donnés à personne. »
Ensuite, il y a la question politique : est-il vraiment souhaitable que Belfort mette à l’honneur le souverain d’un paradis fiscal ? En ces temps de crise économique, il faut une droite inconsciente et cynique pour s’abandonner à cette décision.
Enfin, les modalités de la visite sont inouïes. On apprend jour après jour que les services sont mobilisés comme jamais pour assurer une réception 4 étoiles au Prince de Monaco : grand nettoyage de printemps au Conseil départemental, mobilisation des forces de l’ordre, travaux de voirie devant l’école Heidet, mise en condition des élèves de l’école à qui l’on demande d’agiter des petits drapeaux aux couleurs de la principauté…
Belfort est une ville républicaine, pour laquelle des générations se sont mobilisées hier pour mettre en œuvre de véritables politiques publiques au service des habitants, au service de l’activité économique, de la vitalité éducative et culturelle. La nouvelle majorité cède aux paillettes et au bling-bling. Ce folklore, digne de la presse people, est déshonorant.
D’abord, le « Comte de Belfort » n’existe plus. Il n’est pas acceptable que les élus de la République, au premier rang desquels M. Meslot, député de la Nation, reconnaissent à leur hôte le titre de « Comte de Belfort » qui a été aboli en même temps que tous les titres de noblesse le 19 juin 1790 en ces termes : « L'Assemblée nationale décrète que la noblesse héréditaire est pour toujours abolie ; qu'en conséquence, les titres de prince, de duc, de comte, de marquis, vicomte, vidame, baron, chevalier, messire, écuyer, noble, et tous autres titres semblables, ne seront ni pris par qui que ce soit, ni donnés à personne. »
Ensuite, il y a la question politique : est-il vraiment souhaitable que Belfort mette à l’honneur le souverain d’un paradis fiscal ? En ces temps de crise économique, il faut une droite inconsciente et cynique pour s’abandonner à cette décision.
Enfin, les modalités de la visite sont inouïes. On apprend jour après jour que les services sont mobilisés comme jamais pour assurer une réception 4 étoiles au Prince de Monaco : grand nettoyage de printemps au Conseil départemental, mobilisation des forces de l’ordre, travaux de voirie devant l’école Heidet, mise en condition des élèves de l’école à qui l’on demande d’agiter des petits drapeaux aux couleurs de la principauté…
Belfort est une ville républicaine, pour laquelle des générations se sont mobilisées hier pour mettre en œuvre de véritables politiques publiques au service des habitants, au service de l’activité économique, de la vitalité éducative et culturelle. La nouvelle majorité cède aux paillettes et au bling-bling. Ce folklore, digne de la presse people, est déshonorant.
Bastien Faudot
Conseiller municipal et départemental MRC
Conseiller municipal et départemental MRC
Communiqué de presse
Dans l'invitation adressée aux Belfortains, Damien Meslot et Florian Bouquet se disent fiers d'accueillir le monarque d'un petit état qui prospère grâce à l'évasion fiscale. Cette fierté proclamée, grâce aux services municipaux et départementaux, c'est le signe que Belfort devient, avec une droite dite républicaine, une ville qui se soumet à un ordre ancien, où les courtisans tiennent le pouvoir. Le MRC invite les citoyens et les véritables républicains à renvoyer l'invitation reçue dans leur boîte à lettre à MM. Meslot et Bouquet avec ces mots : "Je suis un républicain, je ne suis pas un courtisan !"
La Fédération MRC Aire Urbaine
Signer et partager la pétition : " JE SUIS UN REPUBLICAIN, JE NE SUIS PAS UN COURTISAN ! "
La Fédération MRC Aire Urbaine
Signer et partager la pétition : " JE SUIS UN REPUBLICAIN, JE NE SUIS PAS UN COURTISAN ! "
Texte de l'intervention de Bastien Faudot au Conseil municipal de la ville de Belfort, jeudi 19 mai 2016 (Rapport n°4).
Monsieur le maire,
Mes chers collègues,
Le temps d'un mandat municipal passe vite. Il laisse peu le temps de flâner. Nous en sommes déjà à la deuxième des trois phases qui rythment le vôtre : le début est terminé, le milieu, nous y sommes, et la fin, c'est déjà demain.
Je rappelle cette réalité car les grands projets occupent ces trois périodes. La première sert à penser le projet et à lancer les études, le second permet d'organiser la concertation et de ficeler le projet, la troisième sert à le réaliser.
Vous le savez, j'avais moi-même intégré dans mon programme en 2014 un aménagement des berges de la Savoureuse. Je vous l'avoue ici : mon projet était beaucoup plus modeste, d'abord sur le linéaire, puisqu'il était concentré pour l'essentiel sur la portion du centre-ville qui s'étend du Pont Clemenceau au square du Souvenir, en tentant de l'articuler étroitement au développement de la vie économique de Belfort : le commerce.
C'est ce qui m'a conduit à émettre un avis à priori favorable lors de la première délibération de principe, en relevant toutefois un désaccord sur la longueur du linéaire que vous nous proposiez, qui est trois fois plus grand.
J'ai donc étudié avec intérêt votre projet. Je dois vous dire aussi franchement que des le début, je suis resté sur ma faim, car avant d'aborder le fond des choses, je veux vous faire part de mon premier étonnement : 3 pages de rapport et une présentation PowerPoint composée d'un trombinoscope de votre équipe et de visuels "non contractuels", pour un projet qui engage plus de 15 millions d'euros, vous n'économisez pas l'argent public, mais vous économisez le papier ! Le dossier que vous nous avez remis est chétif, ce qui n'augure rien de bon. J'avais déjà émis un jugement similaire sur votre parking souterrain avec un dossier qui faisait 6 pages, et j'avais alors exprimé mon inquiétude la plus vive sur le fait que tout cela n'était pas pensé. La suite a permis de le vérifier...
Mes chers collègues,
Le temps d'un mandat municipal passe vite. Il laisse peu le temps de flâner. Nous en sommes déjà à la deuxième des trois phases qui rythment le vôtre : le début est terminé, le milieu, nous y sommes, et la fin, c'est déjà demain.
Je rappelle cette réalité car les grands projets occupent ces trois périodes. La première sert à penser le projet et à lancer les études, le second permet d'organiser la concertation et de ficeler le projet, la troisième sert à le réaliser.
Vous le savez, j'avais moi-même intégré dans mon programme en 2014 un aménagement des berges de la Savoureuse. Je vous l'avoue ici : mon projet était beaucoup plus modeste, d'abord sur le linéaire, puisqu'il était concentré pour l'essentiel sur la portion du centre-ville qui s'étend du Pont Clemenceau au square du Souvenir, en tentant de l'articuler étroitement au développement de la vie économique de Belfort : le commerce.
C'est ce qui m'a conduit à émettre un avis à priori favorable lors de la première délibération de principe, en relevant toutefois un désaccord sur la longueur du linéaire que vous nous proposiez, qui est trois fois plus grand.
3 pages de rapport et une présentation PowerPoint composée d'un trombinoscope de votre équipe et de visuels "non contractuels", pour un projet qui engage plus de 15 millions d'euros, vous n'économisez pas l'argent public, mais vous économisez le papier !
J'ai donc étudié avec intérêt votre projet. Je dois vous dire aussi franchement que des le début, je suis resté sur ma faim, car avant d'aborder le fond des choses, je veux vous faire part de mon premier étonnement : 3 pages de rapport et une présentation PowerPoint composée d'un trombinoscope de votre équipe et de visuels "non contractuels", pour un projet qui engage plus de 15 millions d'euros, vous n'économisez pas l'argent public, mais vous économisez le papier ! Le dossier que vous nous avez remis est chétif, ce qui n'augure rien de bon. J'avais déjà émis un jugement similaire sur votre parking souterrain avec un dossier qui faisait 6 pages, et j'avais alors exprimé mon inquiétude la plus vive sur le fait que tout cela n'était pas pensé. La suite a permis de le vérifier...
MRC Aire Urbaine
Maison du Peuple, Salle 008, Place de la Résistance, 90000 Belfort
Email : mrcbelfort@wanadoo.fr
Tel : 03 84 22 85 70
Dernières notes
Damien Meslot ment matin, midi et soir
01/03/2018
L’école René Rucklin doit être prioritaire
28/02/2018
COMPLICES
22/02/2018
Dernières actualités du MRC
|
Soutenez le MRC
|