Le Conseil municipal du 20 décembre n’a pas permis de dissiper des ambiguïtés sur certains dossiers locaux, tant il apparaît que la majorité se complaît à maintenir une stratégie du flou.
Ainsi sur :
- l'aménagement du site Saint-Louis (des fouilles ? un espace muséal ? quelles configurations de l’habitat ?…) ;
- un futur plan de stationnement et de mobilité (à quel stade en est la réflexion ?) ;
- ou une possible guinguette (mais selon un plan A ou B ? pour quels coûts et impacts ?), etc.
Des enjeux à décliner localement ont fait l’objet d’échanges ou de débats : sécurité, travail le dimanche, logements sociaux, etc.
La gauche a argumenté :
- en faveur de la présence humaine pour assurer la sécurité de nos concitoyens ;
- contre la banalisation des ouvertures dominicales ; sur cette question, des valeurs de gauche, des principes sur la qualité de vie familiale, personnelle et au travail, ont assemblé des voix au-delà des contingences de groupes ;
- pour que des constructions de logements sociaux répondent aux besoins réels des personnes à loger.
Sur le plan de la gouvernance municipale, ce Conseil révèle que sont créées des tensions considérables jusqu'au sein même de la majorité : au-delà d’une information incomplète des oppositions, des refus de demandes de prise de parole, des renvois de responsabilités sur la situation actuelle des dossiers entre représentants des ancienne et nouvelle majorités de droite, il faut noter les mises à l'écart et retraits de délégations et les invectives entre membres participants ou sortant de la majorité avec des mises en cause relativement au fonctionnement instauré, une majorité se comptant à un niveau bas pour l'élection d'une nouvelle adjointe, un ton autoritaire du Président de séance et des formules rappelant qui a la police de l'assemblée, voire qui est le chef de la majorité et qui décide.
La gouvernance municipale se trouve déjà, de facto, après un an et demi de mandat, sur la corde raide, alors même que des dossiers engageants pour l'avenir sont à concevoir. Suite à ce Conseil, il est de la responsabilité politique du Maire de favoriser une meilleure qualité de participation et de dialogue. L'intérêt de la Ville et des habitants doit prévaloir.
Ainsi sur :
- l'aménagement du site Saint-Louis (des fouilles ? un espace muséal ? quelles configurations de l’habitat ?…) ;
- un futur plan de stationnement et de mobilité (à quel stade en est la réflexion ?) ;
- ou une possible guinguette (mais selon un plan A ou B ? pour quels coûts et impacts ?), etc.
Des enjeux à décliner localement ont fait l’objet d’échanges ou de débats : sécurité, travail le dimanche, logements sociaux, etc.
La gauche a argumenté :
- en faveur de la présence humaine pour assurer la sécurité de nos concitoyens ;
- contre la banalisation des ouvertures dominicales ; sur cette question, des valeurs de gauche, des principes sur la qualité de vie familiale, personnelle et au travail, ont assemblé des voix au-delà des contingences de groupes ;
- pour que des constructions de logements sociaux répondent aux besoins réels des personnes à loger.
Sur le plan de la gouvernance municipale, ce Conseil révèle que sont créées des tensions considérables jusqu'au sein même de la majorité : au-delà d’une information incomplète des oppositions, des refus de demandes de prise de parole, des renvois de responsabilités sur la situation actuelle des dossiers entre représentants des ancienne et nouvelle majorités de droite, il faut noter les mises à l'écart et retraits de délégations et les invectives entre membres participants ou sortant de la majorité avec des mises en cause relativement au fonctionnement instauré, une majorité se comptant à un niveau bas pour l'élection d'une nouvelle adjointe, un ton autoritaire du Président de séance et des formules rappelant qui a la police de l'assemblée, voire qui est le chef de la majorité et qui décide.
La gouvernance municipale se trouve déjà, de facto, après un an et demi de mandat, sur la corde raide, alors même que des dossiers engageants pour l'avenir sont à concevoir. Suite à ce Conseil, il est de la responsabilité politique du Maire de favoriser une meilleure qualité de participation et de dialogue. L'intérêt de la Ville et des habitants doit prévaloir.
