La Fédération
par Serge MAUPOUET le Mercredi 1 Mars 2023 à 22:51Le Conseil national du MRC a décidé de réunir un Congrès, convoqué pour le samedi 1er avril 2023.
Une motion d'orientation, disponible sur le site national du MRC, est proposée au débat militant.
En vue du Congrès, l’Union interdépartementale MRC Limousin-Poitou-Charentes a constitué un groupe de travail et a acté une Contribution aux débats sur la contre-réforme des retraites.
Cette contribution est disponible ci-dessous, en version texte, et téléchargeable en haut de cet article en version pdf.
Contribution du MRC Limousin–Poitou-Charentes sur la contre-réforme des retraites
Groupe de travail et rédacteurs :
Jean-Luc DELCAMPO (MRC 17), Marc DUFLOT (MRC 16), Alain KIMPE (MRC 17),
Alain LAURENT (MRC 87), Michel LE CREFF (MRC 17), Serge MAUPOUET (MRC 17)
Nous croyons utile de rappeler certains principes fondamentaux ou fondateurs de la conception du système de retraites en France, pour étayer les raisons de la lutte du Mouvement Républicain et Citoyen contre l’actuelle prétendue réforme des retraites, prétendue car une réforme est théoriquement un changement pour permettre un progrès. Or, ici, avec ce que le gouvernement propose, il n’y a pas de progrès, il y a des régressions.
La retraite par répartition a été obtenue par le monde du travail, à la Libération, dans le prolongement du programme du Conseil national de la Résistance (CNR) : en mars 1944, ce programme tendait à la réalisation d’un « plan complet de Sécurité sociale visant à assurer à tous les citoyens des moyens d’existence dans tous les cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail ». En matière de retraite, ceci exigeait de bâtir une assurance vieillesse et de construire un système garantissant la pérennité de pensions de retraite décentes.
Plusieurs principes fondamentaux ou fondateurs sont alors retenus pour cette reconstruction : l’obligation, le modèle assurantiel et la répartition.
Tout d’abord, l’obligation : tous les salariés sont obligatoirement assujettis à l’assurance vieillesse. Il y a ici un contrat social, une exigence de solidarité et une brique nécessaire à l’établissement d’une confiance à long terme dans le système mis en place.
Ensuite, est fait le choix du financement par les bénéficiaires, c’est-à-dire la mise en place d'un modèle assurantiel. Pourquoi ce choix ?
- Parce que la cotisation ouvrière est alors perçue comme un élément essentiel pour asseoir la dignité du travailleur, et placer le système en rupture avec toute idée d’assistanat ou de bienfaisance.
- Ceci est d’ailleurs en pleine cohérence avec le projet d’ensemble de la Sécurité sociale qui ne se limite pas à rechercher l’amélioration des conditions de vie : il s’agit de permettre la fondation d’un « ordre social nouveau » – sur la base d’un idéal républicain de Fraternité et de Justice – au sein duquel les travailleurs seraient détachés de tout « sentiment d'infériorité » par rapport aux classes possédantes. Dans ce projet émancipateur, il est alors crucial que ce soit la cotisation de l’ouvrier, produit de son travail, qui lui ouvre droit à la prestation induite.
- Ce choix vient aussi justifier la gestion de la Sécurité sociale par les représentants des syndicats. Le financement se fait par cotisations professionnelles, de manière bipartite, par les assurés et les employeurs, sans participation de l’État. Aujourd’hui, on peut estimer que 80 % du financement du système social repose toujours sur le travail.
Enfin, est tranchée la question de la capitalisation ou de la répartition, au bénéfice de la répartition :
- Avec un système fondé sur la répartition, il est possible de servir des retraites sans attendre le délai requis par une capitalisation qui devrait s’étendre sur des décennies avant d’ouvrir des droits.
- Même si, à l’époque de la création du système, ce n’est pas encore un argument de ceux qui la mettent en place, la « solidarité générationnelle » s’instaure de fait, et la prise de conscience de son importance est majeure depuis les années 1990 : le système de répartition est un fondement de notre système social.
Ces quelques rappels sont utiles pour porter la réflexion au-delà de considérations purement paramétriques, et prendre en compte le fait que la question du financement des retraites c’est plus largement la question du financement de l’État-providence du XXIe siècle, alors que la situation sociale se dégrade. Ainsi, l’espérance de vie ne progresse plus, deux tiers des plus de 60 ans sont au RSA, au chômage ou en-dehors de l’emploi, et trop de seniors liquident leurs pensions alors qu’ils sont déjà en inactivité y compris pour raisons de santé... Même si certains voudraient travailler plus, ils ne le peuvent pas.
Ces rappels des principes fondateurs viennent aussi permettre de relever que le monde du travail subit une offensive néo-libérale sans précédent, offensive qui recherche :
- la baisse des prélèvements obligatoires et des cotisations sociales des employeurs ;
- la baisse des dépenses publiques ;
- une réduction du champ de la protection sociale ;
- l’accroissement de la rémunération du capital au détriment de la rémunération du travail ;
- l’extension des domaines ouverts au marché, des privatisations (y compris en bradant notre patrimoine national), la réduction voire le démantèlement des services publics ;
- la financiarisation de l’économie.
Alors que le système actuel n’est pas en péril financier (déficit de 2,9 milliards d’euros en 2018, selon le Conseil d’Orientation des Retraites et, pour la décennie 2030 autour de 10 milliards de déficit par an sur un volume de prestations de 350 milliards), le problème réside essentiellement dans la réduction des volumes des ressources affectées aux retraites : le déficit n’est pas la conséquence des dépenses liées aux retraites, mais celle de la restriction de ressources affectées aux retraites (non compensation des allégements ou exonérations de cotisations sociales décidés par l’État pour la Sécurité sociale). D’autant que les réserves du système actuel de retraites sont conséquentes (130 à 150 milliards).
Un autre volant du problème réside dans la situation des finances publiques, suite à la stratégie de réduction d’impôts du premier quinquennat Macron, en faveur du capital et des plus riches. Cela, et la crise du Covid, ont conduit à une hausse de 16 points de la dette publique. La réactivation du respect des critères de convergence du traité de Maastricht et du Pacte de stabilité et de croissance de 1997 (3% de déficits budgétaires et une dette inférieure à 60% du PIB), avec une surveillance multilatérale et des procédures pour déficit excessif (amende possible entre 0,2 et 0,5% du PIB) induira inéluctablement une politique d’austérité qui pèsera sur les classes populaires et moyennes. On peut rappeler ici la recommandation CSR 2019.1.4 de la Commission européenne adressée à la France en 2019 dans le cadre du « semestre européen » ; d’où les explications du Président Macron relatives au fait que la réforme dégagerait des marges de manœuvre budgétaires pour financer d’autres politiques publiques – dépendance, école, santé, transition écologique, etc. Déshabiller Pierre pour habiller Paul.
La protection sociale n’est pas de la compétence de l’Union Européenne, mais, par le biais d’une définition « libérale » de la notion de dépenses publiques, celle-ci entre dans le calcul du déficit budgétaire, et donc dans le collimateur de la Commission européenne. Ajoutez-y « la concurrence libre et non faussée », et vous avez le ressort essentiel de la dégradation de notre modèle social. Et d’aucuns sont partie prenante de cette dégradation.
Par conséquent, la question du financement des retraites revient non pas à poser les questions paramétriques de la réforme actuelle, dont le point central porte sur le recul de l’âge légal de 62 ans (depuis 2010) à 64 ans, mais bien les questions relatives aux recettes.
D’une part, il faut s’opposer à la réforme actuelle car :
- avec un passage à 64 ans, les salariés les plus modestes risquent de ne plus accéder à la retraite, alors que l’espérance de vie en bonne santé, selon l’INSEE, n’était en 2020 que de 64,4 ans pour les hommes et 65,9 ans pour les femmes et que les ouvriers vivent moins longtemps en bonne santé que les cadres ;
- avec un passage à 43 annuités pour avoir le taux plein, la décote, pour tous ceux ne pouvant valider 172 trimestres, entraînera une baisse générale des pensions ;
- la pension minimum annoncée à environ 1 200 € brut (en additionnant pension de base et retraite complémentaire, et avant prélèvements sociaux) sera essentiellement illusoire, car elle ne sera pas atteinte sans avoir cotisé à temps plein 43 annuités au SMIC, ce qui exclura les temps partiels et, par voie de conséquence, beaucoup de femmes ;
- seuls certains critères de pénibilité seraient pris en compte (charges lourdes, vibrations mécaniques...), la réforme va précariser les travailleurs ayant commencé à travailler jeune et dans des métiers où les critères de pénibilité sont nombreux ;
- le gouvernement s'obstine à présenter le montant des retraites comme un prélèvement fait sur la richesse nationale ; il refuse de mentionner qu’en contrepartie les retraités paient des impôts et des taxes. Ils assument aussi, bénévolement, une bonne part de la vie démocratique en s’impliquant dans les collectivités locales. Ils participent également à la vie associative tant dans le sport, la culture, que l’aide à la personne, à tel point que les dons aux associations et les frais de bénévolat sont officiellement reconnus par les impôts. Combien cela coûterait-il de payer à leur place des professionnels pour répondre à ces besoins ? C'est pourtant aussi ce qui nous attend si l’on retarde l'âge de la retraite.
Mais il faut aller plus loin, prendre le contre-pied d’un gouvernement qui organise la régression sociale des salariés et lutter pour que l’État-providence soit réorienté vers les citoyens : exiger la remise en cause des exonérations de cotisations (poursuivies depuis 1993, accrues en 2015 avec le Pacte de responsabilité et de solidarité), la suppression de cadeaux fiscaux, l’élargissement de l’assiette aux revenus financiers pour compléter la cotisation par la contribution, des hausses de salaires plutôt que le recours à des primes, prévoir des mesures en faveur des femmes pour revenir sur les réformes régressives qui, depuis 1993, les ont particulièrement pénalisées (rétablissement du bénéfice pour les mères des huit trimestres supplémentaires par enfant, de la majoration de 10% du montant de la pension par enfant à partir du troisième).
Nous devons refuser collectivement la réforme par la régression et imposer une autre réforme, pour le progrès social, dans une logique de solidarité nationale et d’humanisme républicain.
Version du texte de la Contribution au 1er mars 2023.
Actualités
par Le Secrétariat du MRC LPC le Vendredi 29 Avril 2022 à 19:58Communiqué de presse du MRC Limousin–Poitou-Charentes
La présidence Macron est reconduite avec un vote barrage contre l’extrême-droite, malgré la politique désastreuse et la casse sociale du précédent quinquennat (naufrage du "en même temps", revers et contestations liés à un exercice vertical du pouvoir, négation des corps intermédiaires, mépris des relations sociales, inaction face à la poursuite de fermetures de sites industriels, dégradation accentuée du système de santé et du système éducatif, programme écologique non tenu...). Des décisions prises ces cinq dernières années ont renforcé les fondements d’une société inégalitaire et le sentiment de défiance, d’abandon, voire de trahison, d’une grande partie de la population.
Le MRC Limousin–Poitou-Charentes a posé, entre les deux tours, cette analyse rendue publique sur son bloc-notes en ligne : "La nature et les conditions de l'affrontement politique des trois principaux pôles actuels se résolvent en faveur de l'intérêt de ceux qui souhaitent le maintien des politiques de régression sociale (1)".
Le retour d’une dynamique positive est nécessaire pour que la gauche dans son ensemble retrouve sa capacité à peser lors des prochains scrutins nationaux : cet effort passe par la capitalisation de ce qui nous est commun et le compromis sur les sujets de débat, une prise en compte des différentes lignes de pensée, dans une démarche globale de reconstruction en vue de remettre la question sociale au cœur du débat et de proposer une gauche de gouvernement. Nous contribuerons à ce que des initiatives soient prises en ce sens.
Sous cette présidence, comme sous la précédente, nous serons mobilisés, avec la Gauche républicaine et les forces de Progrès, pour offrir une alternative laïque, républicaine, écologique et sociale.
Le Secrétariat de l’Union interdépartementale
(1) - Cf. Analyse politique du Bureau du MRC Limousin–Poitou-Charentes : "Sortir du jeu des trois pôles actuels et conserver un avenir démocratique ?", consultable en ligne : Sortir-du-jeu-des-trois-poles-actuels-et-conserver-un-avenir-democratique
Elections
par Bureau MRC LPC le Jeudi 21 Avril 2022 à 18:06Analyse politique du MRC Limousin–Poitou-Charentes
Sortir du jeu des trois pôles actuels et conserver un avenir démocratique ?
A la fin du premier tour des élections présidentielles, la République Française a vu se porter en tête trois pôles socio-politico-philosophiques :
1 – le centre-droit néo-libéral et européiste, ralliant une partie de la social-démocratie, présent au second tour, autour d’Emmanuel Macron. Ce pôle place l’État au service d'un projet d'adaptation de la société aux marchés, et donne priorité au soutien du secteur privé,
2 – l'extrême-droite nationaliste et identitaire qui, présente au second tour, derrière Marine Le Pen et ses ralliés, entretient et se nourrit d'un climat de défiance dans la société, avec l'objectif de cristalliser un vote de sécession,
3 – une gauche "insoumise", avec un projet social visant au progrès, mais à stratégie "attrape-tout" – aux bases mouvantes et s'écartant notablement de l'héritage de la gauche universaliste – autour de Jean-Luc Mélenchon. Ce pôle n'est structurellement pas en mesure d'accéder au second tour de la Présidentielle (ni à cette élection, ni à la précédente ; les Insoumis finiront-ils par s’en rendre compte ?).
Ces trois pôles s'affrontent généralement à deux contre un, avec des combinaisons qui varient selon les champs politiques, économiques et sociaux :
- sur le plan économique : les programmes des candidats présents au second tour développent une orientation libérale où les grandes entreprises et leurs propriétaires seront les principaux gagnants,
- sur le plan social : la France Insoumise s'oppose à la Macronie pour laquelle la négociation est, au mieux, un rideau de fumée, et à une extrême-droite issue des milieux les plus réactionnaires et anti-sociaux dont l'apparente rhétorique "ouvrière" n'est qu'un faux-nez (aujourd'hui comme dans les années 30, mais il fut un temps où le PCF était assez fort pour en alerter les classes populaires),
- sur la situation des étrangers : la France Insoumise s'oppose au Rassemblement National et à la Macronie (même si ces deux dernières manières de voir sont différentes, la Macronie a témoigné par ses inégales concessions de générosité qu'elle ne regardait pas forcément avec une même considération les réfugiés à accueillir, selon les crises et les lieux d'origine…),
- sur les mœurs : France Insoumise et Macronisme se retrouvent assez largement (débats sur les genre(s) et sexe(s), PMA, euthanasie…).
La situation politique est maintenue en situation de blocage, avec :
- les conséquences des politiques économiques libérales, qui entretiennent le maintien d'une extrême-droite au plus haut niveau,
- le plafond que ne parvient pas à franchir un pôle de gauche "insoumise". Des positions de cet agglomérat rompent avec l’héritage de la gauche républicaine et universaliste et ne sont ainsi pas acceptables, en l’état, par une large partie de l'opinion, y compris de gauche. Le prétendu vote utile pour le candidat de la France Insoumise se révèle ainsi doublement inutile : insuffisant pour permettre à son candidat d'accéder au second tour, minorant les autres forces de gauche qui sont pourtant indispensables pour engager la reconstruction de la gauche sur des bases lui permettant de redevenir majoritaire dans l'opinion.
La nature et les conditions de l’affrontement politique des trois principaux pôles actuels se résolvent ainsi en faveur de l'intérêt de ceux qui souhaitent le maintien des politiques de régression sociale : à l’issue du scrutin, seul le "capital", ses serviteurs, ses affidés gagnent. Sur ce plan, l’affaire est déjà jouée ; c’est en soi une mauvaise nouvelle, puisqu’il n’y aura pas de rééquilibrage en faveur du monde du travail, et donc d’apaisement des tensions dans la société, quelque soit le résultat de dimanche prochain. La victoire de la candidate d’extrême-droite irait cependant dans le sens d’un accroissement encore plus fort des tensions existantes.
Si le résultat du second tour reste incertain, c’est qu’à ces trois pôles se superpose un clivage net, induisant deux grandes situations dans la population :
- celle des gagnants de la mondialisation qui acceptent l’ordre établi,
- celle des perdants de la mondialisation qui subissent des conséquences de l'ordre instauré.
Ces derniers se sont souvent réfugiés dans l'abstention, mais ils peuvent se mobiliser sur une élection. Or, au premier tour, la majorité des électeurs a porté ses suffrages sur des candidats envisageant une rupture, même si le contenu de la rupture diverge (pour les Insoumis s’il faut transformer les institutions politiques, les institutions sociales sont des leviers ; alors qu'à l'extrême-droite est entretenue une défiance globale qui frappe aussi bien les institutions politiques que les institutions sociales). Les nombreux perdants de la mondialisation, s’ils votaient au second tour pour une promesse illusoire de rupture avec un ordre néo-libéral installé, risquent d’être encore plus perdants : pas de rupture avec le libéralisme économique, pas de rééquilibrage en faveur du monde du travail, mais encore des reculs démocratiques à venir.
A court terme, il est de prime urgence de voter avec un esprit républicain pour ne pas laisser l'extrême-droite accéder à l’exécutif national, puis il sera indispensable de travailler à la sortie du jeu des trois pôles actuels en engageant la reconstruction de la gauche sur des bases lui permettant de redevenir majoritaire à l'occasion des scrutins nationaux. Ne faudrait-il pas, aussi, poser publiquement et globalement la question de la liberté, de la variété, de la qualité de l'information sous le mandat à venir, alors qu’il est peut-être étonnant de voir (ou ne pas voir) la manipulation des infos par RT, tout en négligeant ce que font par exemple les réseaux Bolloré ? Et alors que se profile la suppression de la redevance qui finance les médias publics ? La liberté de la presse risque d'être une question cruciale dès les prochains mois. Les militants du Mouvement Républicain et Citoyen y porteront toute l’attention requise.
Le Bureau de l'Union interdépartementale MRC Limousin–Poitou-Charentes, 21 avril 2022
La Fédération
par Serge MAUPOUET le Samedi 22 Janvier 2022 à 18:34Contacts et informations concernant cette réunion :
- courriel : mrc.limousin-poitou-charentes@laposte.net
- téléphone portable : 06 46 24 73 19
La Fédération
par Serge MAUPOUET le Jeudi 30 Septembre 2021 à 21:11Rencontre MRC Ouest 2021 à Saintes
Une rencontre des adhérents du Mouvement Républicain et Citoyen est proposée
le samedi 2 octobre 2021 à Saintes (Charente-Maritime)
Salle Saintonge n°5, rue Fernand Chapsal, 17100 Saintes
afin de partager nos constats, nos analyses, nos aspirations, des éléments de prospective
Organisation
- ouverture des échanges à 14h (accueil à 13h45)
(l'accès à la salle se fait dans le respect des règles sanitaires en vigueur dont le passe sanitaire)
- Échange d’informations, de constats, d’analyses et débats sur :
=> l'économie, l'industrie, l'emploi
=> la situation politique : bilans et perspectives, des élections locales aux élections nationales
=> le MRC dans nos régions : prospective
=> questions diverses
Contacts et informations concernant cette réunion :
- courriel : mrc.limousin-poitou-charentes@laposte.net
- téléphone portable : 06 46 24 73 19
Union interdépartementale MRC Limousin-Poitou-Charentes
75, rue de l'EPINEUIL - 17100 SAINTES
Email : mrc.limousin-poitou-charentes@laposte.net
Tel : 06 46 24 73 19
Dernières actualités du MRC
|
Soutenez le MRC
|