Et donc, pendant ce temps-là en Corse, la notion même de Nation française, de République française, une et indivisible prend l'eau.
Mais tout va bien, la gauche se contente de son humiliation sous forme de capitulation au prétexte du très enveloppé "front républicain". Et la droite est fière d'exhiber ses hérauts d'armes couverts de lauriers remportés sur le champ du déshonneur et bien sûr, sur le corps de notre pauvre Nation. L'UMPS est content et œuvre pour la nécessaire fraternisation entre les indécents, les crapules et les incompétents.
En plus de la démocratie, ce sont nos valeurs qui sont piétinées par des indignes de la République. Jusqu’où ira-t-on dans la perte de nos valeurs ? Faut-il attendre la déshérence pour que nous nous levions enfin contre ce système crapuleux et morbide qui vassalise notre Nation et son peuple. La préservation de nos institutions est-elle si peu chère à leurs yeux pour qu’ils puissent laisser un mouvement indépendantiste préparer la sécession. Mais cela doit peut-être convenir à un gouvernement qui œuvre pour la disparition de toutes les notions de démocratie, de nations et de respects des peuples en Europe. En somme qui pourrait s’insurger contre des préparatifs de sédition quand celui-ci prône une Europe fédérale, une Europe des régions, où les peuples seraient vassalisés par une bureaucratie financière exempte de tout amour-propre, dépourvue de la moindre circonspection et sans le moindre égard pour des peuples en souffrance. Il est temps de reposer les pieds sur terre, de revenir dans cette réalité qui touche l’écrasante majorité des citoyens. La proximité du soleil ne leur brule pas les ailes mais les yeux et tout sentiment de justice et de décence.
Il est inadmissible que sur le territoire français, des voyous se permettent d’arracher le drapeau tricolore d’un monument dédié à la mémoire et de le bruler ensuite. Ce drapeau Bleu Blanc Rouge, emblème durement défendu, au prix du sang et de la sueur versés par des millions de soldats portant fièrement ces couleurs. Il est inadmissible que sur le territoire national, la langue française, langue universelle et seule constitutionnelle, soit à ce point méprisée et outragée, qui plus est au sein d’une institution de la République, par des représentants élus de la République. Il est inadmissible enfin que ce gouvernement tienne une posture passive et ne prenne pas là, toutes les mesures qui doivent en résulter. Ces actes doivent impliquer des mesures fermes, pour la sauvegarde de nos valeurs, pour la sauvegarde de la République française qui se veut démocratique.
Unité, Indivisibilité de la République, Liberté, Egalité, Fraternité ou la mort
Que cette formule, que cette devise redevienne d’actualité. Que ceux qui ne respectent pas nos chères valeurs soient punis, non pas de mort car je défends avec fermeté l’abolition de la peine de mort, mais avec toutes les armes que peut fournir notre justice.
La défense des valeurs de la République et de la démocratie doit être inscrite à l’ordre du jour.
Thomas Pascual
Mais tout va bien, la gauche se contente de son humiliation sous forme de capitulation au prétexte du très enveloppé "front républicain". Et la droite est fière d'exhiber ses hérauts d'armes couverts de lauriers remportés sur le champ du déshonneur et bien sûr, sur le corps de notre pauvre Nation. L'UMPS est content et œuvre pour la nécessaire fraternisation entre les indécents, les crapules et les incompétents.
En plus de la démocratie, ce sont nos valeurs qui sont piétinées par des indignes de la République. Jusqu’où ira-t-on dans la perte de nos valeurs ? Faut-il attendre la déshérence pour que nous nous levions enfin contre ce système crapuleux et morbide qui vassalise notre Nation et son peuple. La préservation de nos institutions est-elle si peu chère à leurs yeux pour qu’ils puissent laisser un mouvement indépendantiste préparer la sécession. Mais cela doit peut-être convenir à un gouvernement qui œuvre pour la disparition de toutes les notions de démocratie, de nations et de respects des peuples en Europe. En somme qui pourrait s’insurger contre des préparatifs de sédition quand celui-ci prône une Europe fédérale, une Europe des régions, où les peuples seraient vassalisés par une bureaucratie financière exempte de tout amour-propre, dépourvue de la moindre circonspection et sans le moindre égard pour des peuples en souffrance. Il est temps de reposer les pieds sur terre, de revenir dans cette réalité qui touche l’écrasante majorité des citoyens. La proximité du soleil ne leur brule pas les ailes mais les yeux et tout sentiment de justice et de décence.
Il est inadmissible que sur le territoire français, des voyous se permettent d’arracher le drapeau tricolore d’un monument dédié à la mémoire et de le bruler ensuite. Ce drapeau Bleu Blanc Rouge, emblème durement défendu, au prix du sang et de la sueur versés par des millions de soldats portant fièrement ces couleurs. Il est inadmissible que sur le territoire national, la langue française, langue universelle et seule constitutionnelle, soit à ce point méprisée et outragée, qui plus est au sein d’une institution de la République, par des représentants élus de la République. Il est inadmissible enfin que ce gouvernement tienne une posture passive et ne prenne pas là, toutes les mesures qui doivent en résulter. Ces actes doivent impliquer des mesures fermes, pour la sauvegarde de nos valeurs, pour la sauvegarde de la République française qui se veut démocratique.
Unité, Indivisibilité de la République, Liberté, Egalité, Fraternité ou la mort
Que cette formule, que cette devise redevienne d’actualité. Que ceux qui ne respectent pas nos chères valeurs soient punis, non pas de mort car je défends avec fermeté l’abolition de la peine de mort, mais avec toutes les armes que peut fournir notre justice.
La défense des valeurs de la République et de la démocratie doit être inscrite à l’ordre du jour.
Thomas Pascual
