07/02/2019
ActualitésI Publié le Jeudi 13 Avril 2017 par Mouvement Républicain et Citoyen
Mots-clés :
élection présidentielle 2017
Dépêche AFP, jeudi 13 avril 2017.
Le Mouvement républicain et citoyen (MRC) a annoncé jeudi son soutien à Benoît Hamon pour la présidentielle, invitant les Français à "déjouer et démentir les sondages" défavorables au candidat PS.
"Le MRC ne se reconnaît entièrement dans aucun des programmes des candidats de gauche, mais le dialogue continu et les combats partagés ces dernières années à l'Assemblée nationale avec Benoît Hamon nous conduisent à soutenir sa candidature", a déclaré l'ancien parti de Jean-Pierre Chevènement dans un communiqué, appelant les Français à "déjouer et démentir les sondages". A dix jours du premier tour, les sondages sur les intentions de vote donnent Benoît Hamon sous la barre des 10 %. Le candidat du MRC Bastien Faudot, qui avait été recalé par le PS quand il avait souhaité participé à la primaire, avait annoncé le retrait de sa candidature à la présidentielle en mars. Des échanges avec l'équipe de Benoît Hamon étaient en cours. ActualitésI Publié le Jeudi 13 Avril 2017 par Jean-Luc Laurent
Mots-clés :
élection présidentielle 2017
Communiqué de Jean-Luc Laurent, président du MRC, et Bastien Faudot, porte-parole du MRC et ex-candidat à l'élection présidentielle de 2017, jeudi 13 avril 2017.
Le Mouvement Républicain et Citoyen apporte son soutien à Benoit Hamon, candidat du Parti Socialiste, de l’UDE, du PRG et d'EELV à l’élection présidentielle.
La gauche au pouvoir a trop souvent renoncé à son idéal ses cinq derniers années, naviguant de Charybde en Scylla tant sur le plan européen que sur le plan social. L’extrême-droite progresse, nourrie par les renoncements politiques et un discours mâtinée de vernis républicain. Le camp libéral pousse toujours plus en avant ses pions en faveur des élites économiques. Comment ne pas penser également aux soupçons qui pèsent sur certains candidats dont l’orgueil et la déconnexion les conduisent à renoncer à toute éthique politique, alors que les Français font face à une incertitude quant aux lendemains qui seront les nôtres et la crainte du déclassement pour les générations à venir ? Le MRC ne se reconnait entièrement dans aucun des programmes des candidats de gauche, mais le dialogue continu et les combats partagés ces dernières années à l'assemblée nationale avec Benoît Hamon nous conduisent à soutenir sa candidature. Nous appelons les Français à déjouer et démentir les sondages. Communiqué de Jean-Luc Laurent, président du MRC et député du Val-de-Marne, jeudi 23 mars 2017.
Dans un bref communiqué, le Conseil constitutionnel a fait savoir qu’il prendrait le temps le temps d’examiner la constitutionnalité de l’accord commercial UE-Canada.
A tous ceux qui disaient que le recours formulé par plus de 100 députés n’avait aucun fondement juridique et relevait de l’agitation politicienne, l’annonce du Conseil constitutionnel répond clairement. Ce traité commercial de nouvelle génération mérite un examen approfondi tant ses conséquences pour la souveraineté nationale et les principes démocratiques pourraient être importants. Je suis convaincu que l’issue de cet examen donnera raison à tous ceux qui sont mobilisés contre le CETA et la technocratie bruxelloise. Par Bruno Moschetto, Secrétaire national aux questions économiques, mardi 14 mars 2017.
Avant que ne se produise une désintégration anarchique de l'euro ainsi que le préconisent certains responsables politiques de droite comme de gauche, une gestion pragmatique par tous les pays membres pourrait se concevoir en amont. En effet, bien que la banque centrale, sise à Francfort soit européenne, les billets émis par chacune des banques centrales nationales ne le sont pas. En France, en particulier, la définition de l'euro témoigne d'un ancrage national. L'article premier du chapitre premier de notre code monétaire et financier stipule que : « la monnaie de la France est l'euro » et que « l 'euro est divisé en 100 centimes ». On peut en déduire que l'euro est la monnaie de chaque Etat membre avant d’être la monnaie de la zone euro. Pour chaque Etat, ceci est illustré par le fait que les pièces de monnaie ont une face nationale et que les billets ont un code national qui précède son numéro, par exemple : U pour la France, X pour l'Allemagne, Y pour la Grèce.
Ainsi, pour ce qui concerne la France dans une volonté de nationalisation de l’euro, rien ne lui interdirait de débaptiser son unité monétaire actuelle, l'euro en euro-franc. Une banque commerciale française dont le déposant, résident ou non, souhaiterait convertir ses avoirs en compte en billets, se verrait offrir des billets portant explicitement la mention euro-franc, marqués du signe distinctif existant U. Ceux-ci cohabiteraient au sein de la zone euro avec les autres euros nationaux des pays qui auraient adopté une telle réforme monétaire. Cela pourrait donner lieu pour chacune des monnaies à des dépréciations ou des appréciations sur les marchés qui tempéreraient le passage d'une euro-monnaie à une autre sans que cela nécessite l'établissement d'un contrôle des changes. Les risques d'un tel passage procèdent de la définition de la monnaie. Pour ceux qui la détiennent, qu'ils soient résidents ou non, il s'agit de créances sur l'appareil bancaire des pays concernés. Des créances sur les banques commerciales pour les avoirs en compte (monnaie scripturale) et des créances sur le la banque centrale pour les avoirs en poche (monnaie fiduciaire). Ces créances ont pour contrepartie des crédits, pour l'essentiel sur chacune des économies nationales. En définitive, en matière monétaire, tout ou presque se ramène aux territoires nationaux. Ainsi, pour un pays donné le passage de l'euro à l'euro national ne change en rien la nature et le montant de ses dettes. Ce passage pour la France serait comparable à la réforme monétaire de 1958 pour l’adoption du nouveau franc. Communiqué de Jean-Luc Laurent, président du MRC et député du Val-de-Marne, mardi 7 mars 2017.
En 2016, l’exécutif a joué gros et perdu gros sur une réforme libérale du Code du Travail qui a fracturé la gauche pour complaire à Bruxelles. Cette réforme, la loi dite El Khomri, a malheureusement vu le jour à coup de 49.3 successifs pendant tout le printemps 2016.
Cet automne, le gouvernement s’est activé pour sortir les décrets d’application. On apprend aujourd’hui que le comité de refonte du Code du Travail ne sera même pas installé avant les élections. Nous ne coulerons pas une larme sur cette entreprise d’abaissement des protections des salariés pour augmenter la sacro-sainte flexibilité. Cette information laisse un goût amer. Cette loi qui, au départ, constituait le volet travail de la loi Macron aura été un immense gâchis toute la gauche. Dans une campagne électorale où de Macron à Fillon les projets de régression sociale ne manquent pas, les Français doivent défendre un droit du travail protecteur et la solidarité collective. |
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