Madame, Monsieur,
Je suis candidat pour être votre député lors des prochaines élections législatives du 11 et 18 juin dans la première circonscription du Territoire de Belfort.
Conseiller municipal de Belfort depuis 2014 et conseiller départemental depuis 2015, je me suis engagé dans la vie publique pour défendre les intérêts de notre Territoire et de ses habitants, mais aussi les valeurs d’une République juste.
Beaucoup d’entre vous ne me connaissent pas encore. Né en 1978 à Belfort, j’ai grandi dans mon village d’Andelnans, au cœur de la 1ère circonscription. Malgré la brièveté de la campagne qui s’ouvrira après l’élection présidentielle, j’espère pouvoir me faire connaître du plus grand nombre possible d’entre vous. Je ne suis pas un héritier : fils d’un ouvrier Peugeot et d’une mère coiffeuse, j’ai toujours cru au mérite, à l’école républicaine et à la diversité des excellences.
J’entends vous convaincre de m’accorder votre confiance en vous exposant tout au long de la campagne les valeurs auxquelles je suis attaché et mes propositions. Refonder notre démocratie, réorienter la construction européenne vers une coopérative des nations et des peuples, répartir le travail et les richesses, engager la planification écologique dont notre planète a besoin, œuvrer à l’indépendance de la France et à la paix dans le monde sont les axes qu’une formule résume : « la République partout, la République pour tous ».
D’ici le 11 juin, chaque semaine, la centaine de militantes et de militants qui ont décidé de s’engager dans ma campagne feront le maximum pour vous porter à domicile mes documents de campagne. N’hésitez pas à nous faire part de votre disponibilité à les aider.
Je veux conclure ce premier contact en faisant part de ma position sur le deuxième tour des élections présidentielles. Par nécessité, je voterai pour Emmanuel Macron le 7 mai. Je le ferai pour battre Marine Le Pen. Car j’aime ma patrie, la France, qui serait durement affaiblie dans le monde si la représentante de l’extrême droite devait être élue. Pour autant, je ne crois pas qu’un projet libéral puisse davantage réussir demain alors qu’il échoue depuis 30 ans.
Il faudra du temps, de la constance et beaucoup d’efforts pour construire l’alternative progressiste que vous attendez. C’est ce à quoi je veux travailler demain en vous représentant à l’Assemblée Nationale. Aucun des candidats n’a obtenu au premier tour plus d’un quart des suffrages du peuple français. Le Parlement aura donc un rôle décisif à jouer.
Bastien FAUDOT
Madame, Monsieur,
Cela ne surprendra que ceux qui ne me connaissent pas. Je ne veux pas être député, je veux être député suppléant. Quelques mots d’explications. Je ne veux pas être député car la loi contre le cumul m’obligerait à démissionner de mon mandat de maire de Grandvillars et donc de Président de la communauté du Sud Territoire et donc aussi de la Société d’Économie Mixte du Sud qui est en train de construire, avec les industriels locaux, l’avenir économique de notre bassin d’emploi. Et j’aime ce que je fais. J’aime les gens du Sud Territoire et je ne veux pas les abandonner.
Je veux continuer à travailler pour eux. Je crois que je suis utile au Sud et plus largement à l’ensemble des habitants des petites communes et des bourgs.
Et c’est pour la même raison que je veux soutenir Bastien Faudot en étant son suppléant comme j’ai voulu aider il y a quelques années Jean-Pierre Chevènement à devenir sénateur du Territoire de Belfort en étant son suppléant. Bastien est courageux. Il est intelligent. Il est ouvert au dialogue. Il est visionnaire. Il a compris que l’aire urbaine, le Territoire de Belfort et Belfort ne pouvaient pas résister au déclin sans une étroite coopération entre le Grand Belfort et l’ensemble des intercommunalités y compris celle du Pays de Montbéliard. Il a eu le courage de s’opposer à Damien Meslot qui veut imposer ses intérêts par la violence et le chantage comme dans les affaires de la facturation du traitement des ordures ménagères avec le Sertrid et celle du Granit avec le Pays de Montbéliard. Damien Meslot ne respecte rien. Après le scandale de Pénélope Fillon qui a tant choqué les Français, il n’hésite pas à présenter son assistant parlementaire comme candidat à la députation afin d’assurer qu’aucun obstacle n’entrave ses ambitions.
Je ferai donc la campagne des législatives à ses côtés pour le faire élire parce que je crois qu’il est une chance pour reconstruire une gauche populaire, écologiste, républicaine, ouverte et proche des gens.
Christian RAYOT
Cela ne surprendra que ceux qui ne me connaissent pas. Je ne veux pas être député, je veux être député suppléant. Quelques mots d’explications. Je ne veux pas être député car la loi contre le cumul m’obligerait à démissionner de mon mandat de maire de Grandvillars et donc de Président de la communauté du Sud Territoire et donc aussi de la Société d’Économie Mixte du Sud qui est en train de construire, avec les industriels locaux, l’avenir économique de notre bassin d’emploi. Et j’aime ce que je fais. J’aime les gens du Sud Territoire et je ne veux pas les abandonner.
Je veux continuer à travailler pour eux. Je crois que je suis utile au Sud et plus largement à l’ensemble des habitants des petites communes et des bourgs.
Et c’est pour la même raison que je veux soutenir Bastien Faudot en étant son suppléant comme j’ai voulu aider il y a quelques années Jean-Pierre Chevènement à devenir sénateur du Territoire de Belfort en étant son suppléant. Bastien est courageux. Il est intelligent. Il est ouvert au dialogue. Il est visionnaire. Il a compris que l’aire urbaine, le Territoire de Belfort et Belfort ne pouvaient pas résister au déclin sans une étroite coopération entre le Grand Belfort et l’ensemble des intercommunalités y compris celle du Pays de Montbéliard. Il a eu le courage de s’opposer à Damien Meslot qui veut imposer ses intérêts par la violence et le chantage comme dans les affaires de la facturation du traitement des ordures ménagères avec le Sertrid et celle du Granit avec le Pays de Montbéliard. Damien Meslot ne respecte rien. Après le scandale de Pénélope Fillon qui a tant choqué les Français, il n’hésite pas à présenter son assistant parlementaire comme candidat à la députation afin d’assurer qu’aucun obstacle n’entrave ses ambitions.
Je ferai donc la campagne des législatives à ses côtés pour le faire élire parce que je crois qu’il est une chance pour reconstruire une gauche populaire, écologiste, républicaine, ouverte et proche des gens.
Christian RAYOT