Cette décision est regrettable. Elle avalise un projet qui n’a aucune légitimité démocratique car jamais soumis au vote du Parlement. Le MRC dénonce la promulgation immédiate de la loi qui témoigne du cynisme de l'exécutif, qui aura utilisé tous les moyens pour contraindre le Parlement, jusqu'au 49-3.
Après avoir méprisé la démocratie sociale et la démocratie représentative, le président de la République, en choisissant le passage en force de sa réforme, aggrave la crise politique que connaît la France.
Cette décision est prise contre l’avis de plus de 70 % des Français, dans un contexte de rejet massif de la réforme injuste et inutile des retraites voulue par le Gouvernement.
Cette décision ne marque en aucun cas « la fin du processus démocratique » de cette réforme, contrairement à ce que clame le Gouvernement depuis vendredi. D’abord, les Français continuent de rejeter à une très large majorité cette réforme et le montreront lundi 1er mai en se mobilisant massivement partout dans le pays.
Ensuite, le Conseil constitutionnel doit encore se prononcer sur la demande de référendum déposée par des parlementaires. Le référendum est la seule voie possible pour que les Français se prononcent et que le Gouvernement soit contraint par leur choix. Face à un tel sujet, qui touche au quotidien de tous les travailleurs, le référendum est nécessaire.
Emmanuel Macron et son gouvernement s’entêtent depuis 2019 à réformer les retraites, alors que le système français issu du pacte social du Conseil national de la Résistance se porte bien. La vraie préoccupation des Français est ailleurs : l’inflation galopante qui étouffe les ménages et réduit le pouvoir d'achat, mais aussi les sécheresses et le manque d’eau qui commencent et promettent un été caniculaire devraient mobiliser le gouvernement pour apporter des réponses concrètes.
Une fois de plus, Emmanuel Macron témoigne de sa déconnexion avec les citoyens et de son absence totale de compréhension du pays. L’agenda libéral l’emporte à nouveau sur la cohésion sociale.
Le Mouvement Républicain et Citoyen appelle tous les Français à se mobiliser contre la réforme des retraites et à manifester nombreux, à l’appel de l’intersyndicale, le 1er mai prochain.
Après avoir méprisé la démocratie sociale et la démocratie représentative, le président de la République, en choisissant le passage en force de sa réforme, aggrave la crise politique que connaît la France.
Cette décision est prise contre l’avis de plus de 70 % des Français, dans un contexte de rejet massif de la réforme injuste et inutile des retraites voulue par le Gouvernement.
Cette décision ne marque en aucun cas « la fin du processus démocratique » de cette réforme, contrairement à ce que clame le Gouvernement depuis vendredi. D’abord, les Français continuent de rejeter à une très large majorité cette réforme et le montreront lundi 1er mai en se mobilisant massivement partout dans le pays.
Ensuite, le Conseil constitutionnel doit encore se prononcer sur la demande de référendum déposée par des parlementaires. Le référendum est la seule voie possible pour que les Français se prononcent et que le Gouvernement soit contraint par leur choix. Face à un tel sujet, qui touche au quotidien de tous les travailleurs, le référendum est nécessaire.
Emmanuel Macron et son gouvernement s’entêtent depuis 2019 à réformer les retraites, alors que le système français issu du pacte social du Conseil national de la Résistance se porte bien. La vraie préoccupation des Français est ailleurs : l’inflation galopante qui étouffe les ménages et réduit le pouvoir d'achat, mais aussi les sécheresses et le manque d’eau qui commencent et promettent un été caniculaire devraient mobiliser le gouvernement pour apporter des réponses concrètes.
Une fois de plus, Emmanuel Macron témoigne de sa déconnexion avec les citoyens et de son absence totale de compréhension du pays. L’agenda libéral l’emporte à nouveau sur la cohésion sociale.
Le Mouvement Républicain et Citoyen appelle tous les Français à se mobiliser contre la réforme des retraites et à manifester nombreux, à l’appel de l’intersyndicale, le 1er mai prochain.