A la tribune de l'Auditorium (salle Saintonge) : Serge MAUPOUET aux côtés de Gérard PIERRE (Professeur honoraire de physique)
Conférence-débat
de Gérard PIERRE,
organisée par le MRC 17 :
"Quelles énergies pour demain ?"
à Saintes, le 14 octobre 2010 La conférence-débat « Quelles énergies pour demain ? » : un grand sujet, un large public, un débat de fond Communiqué de presse du MRC 17 (16 octobre 2010).
La conférence sur la transition énergétique organisée à Saintes le 14 octobre 2010 par le MRC 17 (Mouvement Républicain et Citoyen de Charente-Maritime), a été suivie par de nombreux représentants de l’ensemble des partis de gauche ainsi que d’un mouvement gaulliste et républicain, des militants associatifs et des citoyens intéressés par la question énergétique. Plus d’une quarantaine de personnes étaient présentes dans la salle.
Le conférencier, Gérard Pierre Secrétaire national du MRC – dont Jean-Pierre Chevènement est le président d’honneur –, a dans un premier temps fait le bilan des réserves actuelles et des difficultés d’approvisionnement à venir en fonction de l’accroissement de la population et des risques de changement climatique. Dans un second temps, l’ensemble des ressources énergétiques primaires a été développé en regardant les avantages et les inconvénients de chacune d’elles. Gérard Pierre a ensuite terminé son exposé en proposant des pistes pour passer au mieux la transition énergétique du 21ème siècle.
Le débat s’est engagé avec la salle. Il s’est d’abord situé entre les opposants de principe au nucléaire et ceux qui ne rejettent aucune forme énergétique a priori, puis s’est élargi (évocation de la loi NOME, de la Charge de Service Public d’Electricité, etc.). Le conférencier a conclu en rappelant que l’on ne pourrait pas continuer à consommer le mixte énergétique actuel au regard de l’épuisement prévisible des réserves, que les économies d’énergie étaient indispensables, que les énergies renouvelables ne pouvaient en aucun cas fournir à elles seules ni les énormes quantités d’énergie actuellement consommées, ni celles encore plus importantes qui le seront demain, et par conséquent que la seule solution était de ne rien négliger : ni les économies d’énergie, ni les énergies renouvelables, ni le nucléaire.
de Gérard PIERRE,
organisée par le MRC 17 :
"Quelles énergies pour demain ?"
à Saintes, le 14 octobre 2010 La conférence-débat « Quelles énergies pour demain ? » : un grand sujet, un large public, un débat de fond Communiqué de presse du MRC 17 (16 octobre 2010).
La conférence sur la transition énergétique organisée à Saintes le 14 octobre 2010 par le MRC 17 (Mouvement Républicain et Citoyen de Charente-Maritime), a été suivie par de nombreux représentants de l’ensemble des partis de gauche ainsi que d’un mouvement gaulliste et républicain, des militants associatifs et des citoyens intéressés par la question énergétique. Plus d’une quarantaine de personnes étaient présentes dans la salle.
Le conférencier, Gérard Pierre Secrétaire national du MRC – dont Jean-Pierre Chevènement est le président d’honneur –, a dans un premier temps fait le bilan des réserves actuelles et des difficultés d’approvisionnement à venir en fonction de l’accroissement de la population et des risques de changement climatique. Dans un second temps, l’ensemble des ressources énergétiques primaires a été développé en regardant les avantages et les inconvénients de chacune d’elles. Gérard Pierre a ensuite terminé son exposé en proposant des pistes pour passer au mieux la transition énergétique du 21ème siècle.
Le débat s’est engagé avec la salle. Il s’est d’abord situé entre les opposants de principe au nucléaire et ceux qui ne rejettent aucune forme énergétique a priori, puis s’est élargi (évocation de la loi NOME, de la Charge de Service Public d’Electricité, etc.). Le conférencier a conclu en rappelant que l’on ne pourrait pas continuer à consommer le mixte énergétique actuel au regard de l’épuisement prévisible des réserves, que les économies d’énergie étaient indispensables, que les énergies renouvelables ne pouvaient en aucun cas fournir à elles seules ni les énormes quantités d’énergie actuellement consommées, ni celles encore plus importantes qui le seront demain, et par conséquent que la seule solution était de ne rien négliger : ni les économies d’énergie, ni les énergies renouvelables, ni le nucléaire.