Moins de service (réduction de la fréquence et des dessertes, suppression du transport à la demande), moins d’emplois (avec la suppression de 100 emplois au total en deux ans), moins de fréquentation du réseau (baisse de 600.000 voyages), moins de recettes, mais aussi moins de pouvoir d’achat pour les usagers (avec l’augmentation des tarifs).
Cette spirale infernale, c’est la logique d’austérité défendue par les libéraux : il s’agit de couper à l’aveugle dans les dépenses pour résorber les déficits. Mais partout ces politiques restrictives échouent. Malgré tout, sûr de son fait, plus les déficits augmentent, plus M. Guillemet rabote !
Jamais la précédente majorité n’a provoqué de déficit sur aucun exercice budgétaire. Si problème de gestion il y a aujourd’hui, il est apparu avec la nouvelle majorité. Le SMTC, sous la gauche, c’est la création d’un réseau qui relie toutes les communes du département avec au minimum un bus à chaque heure, le doublement de la fréquentation avec 10 millions de voyages chaque année, la mise en place des vélos en libre-service et des voitures en libre-service. Le projet de la droite est plus rustique : le retour à la CTRB des années 80 !
C’est aussi moins d’imagination au pouvoir. Où en est le grand projet de M. Meslot pour créer un service unifié à l’échelle de l’Aire urbaine ? Les grandes annonces et l’accusation des majorités précédentes ne suffiront pas à tenir tout un mandat
Le transport à la demande disparaît le 2 mai. Que deviennent les lycéens et les collégiens abandonnés en rase campagne, en pleine année scolaire ? Et les personnes qui ont pris des engagements, organisé leur travail en tenant compte des horaires du service de bus, comment vont-elles faire ?
Aujourd’hui, ce sont les usagers les premières victimes de ce démantèlement, en ville comme dans les villages. C’est plus globalement, l’attractivité du Territoire de Belfort qui est pénalisée.
Cette spirale infernale, c’est la logique d’austérité défendue par les libéraux : il s’agit de couper à l’aveugle dans les dépenses pour résorber les déficits. Mais partout ces politiques restrictives échouent. Malgré tout, sûr de son fait, plus les déficits augmentent, plus M. Guillemet rabote !
Jamais la précédente majorité n’a provoqué de déficit sur aucun exercice budgétaire. Si problème de gestion il y a aujourd’hui, il est apparu avec la nouvelle majorité. Le SMTC, sous la gauche, c’est la création d’un réseau qui relie toutes les communes du département avec au minimum un bus à chaque heure, le doublement de la fréquentation avec 10 millions de voyages chaque année, la mise en place des vélos en libre-service et des voitures en libre-service. Le projet de la droite est plus rustique : le retour à la CTRB des années 80 !
C’est aussi moins d’imagination au pouvoir. Où en est le grand projet de M. Meslot pour créer un service unifié à l’échelle de l’Aire urbaine ? Les grandes annonces et l’accusation des majorités précédentes ne suffiront pas à tenir tout un mandat
Le transport à la demande disparaît le 2 mai. Que deviennent les lycéens et les collégiens abandonnés en rase campagne, en pleine année scolaire ? Et les personnes qui ont pris des engagements, organisé leur travail en tenant compte des horaires du service de bus, comment vont-elles faire ?
Aujourd’hui, ce sont les usagers les premières victimes de ce démantèlement, en ville comme dans les villages. C’est plus globalement, l’attractivité du Territoire de Belfort qui est pénalisée.