Les premiers résultats des élections législatives grecques mettent en lumière une nette victoire de Syriza, qui pourrait atteindre la majorité absolue au Parlement. A l'inverse, le Pasok en serait absent, témoignant d’un effondrement de la gauche dite « sérieuse » et euro-conformiste.
Le cas de la Grèce est extrême mais un tel résultat doit marquer un coup d’arrêt aux politiques d’austérité qui sont menées partout en Europe contre le bon sens économique et, surtout, contre la volonté des peuples. Ces politiques ne sont ni efficaces, ni souhaitées.
Les Grecs viennent de nous montrer qu’il y a plus à craindre d’un désastre économique que du volontarisme politique qu’incarne Syriza. Ce faisant, ils ont refusé de se laisser dicter leur vote par la Troika européenne.
La question de la dette grecque ne manquera pas de se poser dans les prochains jours. A cette occasion, le Gouvernement français devra choisir : défendre étroitement les intérêts des banques françaises ou s’appuyer sur cette renégociation pour réorienter l’Europe en profondeur (coup d'arrêt aux politiques d'austérité et réforme de l'euro, monnaie unique qui doit devenir monnaie commune).
Ce résultat offre une opportunité historique dans une zone euro à bout de souffle, structurellement vouée à l’échec : il faut la saisir.
Le cas de la Grèce est extrême mais un tel résultat doit marquer un coup d’arrêt aux politiques d’austérité qui sont menées partout en Europe contre le bon sens économique et, surtout, contre la volonté des peuples. Ces politiques ne sont ni efficaces, ni souhaitées.
Les Grecs viennent de nous montrer qu’il y a plus à craindre d’un désastre économique que du volontarisme politique qu’incarne Syriza. Ce faisant, ils ont refusé de se laisser dicter leur vote par la Troika européenne.
La question de la dette grecque ne manquera pas de se poser dans les prochains jours. A cette occasion, le Gouvernement français devra choisir : défendre étroitement les intérêts des banques françaises ou s’appuyer sur cette renégociation pour réorienter l’Europe en profondeur (coup d'arrêt aux politiques d'austérité et réforme de l'euro, monnaie unique qui doit devenir monnaie commune).
Ce résultat offre une opportunité historique dans une zone euro à bout de souffle, structurellement vouée à l’échec : il faut la saisir.