Le MRC se félicite des dernières déclarations du Président de la République qui ouvrent enfin la porte à une issue raisonnable pour les relations de la France et de l’Europe avec la Russie.
En soulignant que « Poutine ne veut pas annexer l’Ukraine, il me l’a dit » et que par voie de conséquence un dialogue constructif devait s’engager, François Hollande amorce une évolution positive par rapport à ce qu’a été jusqu’ici la posture de notre diplomatie. La rencontre prévue le 15 janvier entre le Président français, Angela Merkel, Vladimir Poutine, et Petro Porochenko est un signal très encourageant pour le rétablissement d’un dialogue qui engage l’avenir de l’Europe. Cet avenir passe en effet par l’existence d’une Ukraine stable, souveraine, non agressive, que ce soit vis-à-vis de l’Est ou vis-à-vis de l’Ouest. A ces conditions, notre continent pourra maîtriser un avenir qu’il n’appartient qu’à lui de dessiner, en dehors de l’ingérence américaine et otanienne.
Il faut espérer bien entendu que la levée des sanctions envers la Russie, préjudiciables à nos deux pays, comme l’a marqué le Président, sera la suite logique d’un dialogue enfin restauré dans l’équilibre des positions et des concessions réciproques.
En soulignant que « Poutine ne veut pas annexer l’Ukraine, il me l’a dit » et que par voie de conséquence un dialogue constructif devait s’engager, François Hollande amorce une évolution positive par rapport à ce qu’a été jusqu’ici la posture de notre diplomatie. La rencontre prévue le 15 janvier entre le Président français, Angela Merkel, Vladimir Poutine, et Petro Porochenko est un signal très encourageant pour le rétablissement d’un dialogue qui engage l’avenir de l’Europe. Cet avenir passe en effet par l’existence d’une Ukraine stable, souveraine, non agressive, que ce soit vis-à-vis de l’Est ou vis-à-vis de l’Ouest. A ces conditions, notre continent pourra maîtriser un avenir qu’il n’appartient qu’à lui de dessiner, en dehors de l’ingérence américaine et otanienne.
Il faut espérer bien entendu que la levée des sanctions envers la Russie, préjudiciables à nos deux pays, comme l’a marqué le Président, sera la suite logique d’un dialogue enfin restauré dans l’équilibre des positions et des concessions réciproques.