Les trois députés chevènementistes, apparentés au groupe PS, voteront mardi contre le projet de loi de transition énergétique, en raison du plafonnement immédiat qu'elle impose à la capacité du parc nucléaire.
"La majorité de ces 65 articles sont positifs et contribueront à une politique énergétique favorisant la sobriété et la réduction des émissions de gaz à effet de serre", estime dans un communiqué le député du Val-de-Marne et président du Mouvement républicain et citoyen, Jean-Luc Laurent.
Mais, poursuit-il, "malheureusement, le plafond de capacité de production électronucléaire (63,2 gigawatts dès 2015) rend impossible un vote positif des députés MRC".
Ce plafond "purement idéologique" va selon lui "mettre en danger l'ensemble du réseau électrique". "Alors que la France dispose d'une filière nucléaire forte, la loi va (la) brider artificiellement sans être capable de mettre en face les capacités de production alternatives", ajoute M. Laurent.
D'après lui, "son adoption provoquera la fermeture de plusieurs réacteurs et l'inquiétude monte déjà dans les territoires concernés".
Impliqué tout au long des débats la semaine dernière dans l'hémicycle, cet élu a défendu "une vision jacobine de la politique énergétique ayant pour objectif la souveraineté énergétique et la sécurité d'approvisionnement, le contrôle public et la recherche du meilleur coût pour les ménages et les entreprises françaises".
"La majorité de ces 65 articles sont positifs et contribueront à une politique énergétique favorisant la sobriété et la réduction des émissions de gaz à effet de serre", estime dans un communiqué le député du Val-de-Marne et président du Mouvement républicain et citoyen, Jean-Luc Laurent.
Mais, poursuit-il, "malheureusement, le plafond de capacité de production électronucléaire (63,2 gigawatts dès 2015) rend impossible un vote positif des députés MRC".
Ce plafond "purement idéologique" va selon lui "mettre en danger l'ensemble du réseau électrique". "Alors que la France dispose d'une filière nucléaire forte, la loi va (la) brider artificiellement sans être capable de mettre en face les capacités de production alternatives", ajoute M. Laurent.
D'après lui, "son adoption provoquera la fermeture de plusieurs réacteurs et l'inquiétude monte déjà dans les territoires concernés".
Impliqué tout au long des débats la semaine dernière dans l'hémicycle, cet élu a défendu "une vision jacobine de la politique énergétique ayant pour objectif la souveraineté énergétique et la sécurité d'approvisionnement, le contrôle public et la recherche du meilleur coût pour les ménages et les entreprises françaises".