Georges Sarre, secrétaire national du MRC et ancien inspecteur des postes, à apporté mardi son soutien à la grève contre la privatisation de La Poste, estimant qu'il en va de "l'avenir du service public et de l'égalité sociale et spatiale face à la tout-marchandisation du monde".
M. Sarre, également adjoint à la mairie de Paris, déclare, dans un communiqué, que "non seulement la gauche doit s'opposer à ce non-sens --et le MRC participe de l'initiative collective d'une pétition contre cette privatisation--, mais elle doit inclure dans un programme alternatif la reconstitution d'un service public du courrier".
Ceci suppose, selon lui, "de revenir sur les directives européennes de libéralisation du service postal".
Pour M. Sarre, cette grève, "au-delà des légitimes inquiétudes des personnels, pose un enjeu de société: il est stupéfiant que les pouvoirs publics s'appliquent à détruire, l'un après l'autre, les mécanismes de la performance économique et de la cohésion nationale et territoriale françaises".
M. Sarre, également adjoint à la mairie de Paris, déclare, dans un communiqué, que "non seulement la gauche doit s'opposer à ce non-sens --et le MRC participe de l'initiative collective d'une pétition contre cette privatisation--, mais elle doit inclure dans un programme alternatif la reconstitution d'un service public du courrier".
Ceci suppose, selon lui, "de revenir sur les directives européennes de libéralisation du service postal".
Pour M. Sarre, cette grève, "au-delà des légitimes inquiétudes des personnels, pose un enjeu de société: il est stupéfiant que les pouvoirs publics s'appliquent à détruire, l'un après l'autre, les mécanismes de la performance économique et de la cohésion nationale et territoriale françaises".