Le MRC salue la proposition de résolution visant à reconnaitre l’Etat de Palestine. Les députés chevènementistes, signataires du texte, se félicitent que, par cette démarche, le gouvernement soit incité à faire entendre la voix de la justice et de la raison.
Nous avions d’ailleurs appelé au retour à la tradition diplomatique de la France dans la vision de ce conflit au mois de juillet dernier, à la suite des déclarations surprenantes du Président de la République.
Si l’Assemblée Nationale devait se prononcer, comme on peut le croire, en faveur de la reconnaissance de l’Etat de Palestine, comment le gouvernement pourrait-il ne pas tenir compte de cette invitation très largement soutenue au sein de sa propre majorité ?
C’est l’honneur de la gauche que d’agir pour la reconnaissance d’un Etat de Palestine digne de ce nom. Elle s’inscrit ainsi dans la tradition diplomatique qui fut celle de la France depuis 40 ans et que la majorité de la droite passée par le sarkozysme a reniée avec le reste de l’héritage gaulliste.
Elisabeth Guigou, Présidente de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale, la majorité du groupe SRC, du groupe GDR et des Ecologistes font, eux, honneur à ce qu’a toujours été la voix singulière de la France au sein du camp occidental.
Cette résolution, quoiqu’en disent l’UMP et son Président de groupe, vient à point pour mettre le gouvernement face à ses responsabilités. Le MRC, par la voix de ses parlementaires, appuie de toutes ses forces la reconnaissance de l’Etat de Palestine sur les bases de la résolution de 1967. Contrairement aux arguments de mauvaise foi que l’on entend ici ou là, cette reconnaissance est une condition pour rétablir le processus de paix. Elle est de l’intérêt non seulement des deux peuples israélien et palestinien, mais du Moyen-Orient dans son ensemble, comme elle est de l’intérêt de notre pays lui-même.
Nous avions d’ailleurs appelé au retour à la tradition diplomatique de la France dans la vision de ce conflit au mois de juillet dernier, à la suite des déclarations surprenantes du Président de la République.
Si l’Assemblée Nationale devait se prononcer, comme on peut le croire, en faveur de la reconnaissance de l’Etat de Palestine, comment le gouvernement pourrait-il ne pas tenir compte de cette invitation très largement soutenue au sein de sa propre majorité ?
C’est l’honneur de la gauche que d’agir pour la reconnaissance d’un Etat de Palestine digne de ce nom. Elle s’inscrit ainsi dans la tradition diplomatique qui fut celle de la France depuis 40 ans et que la majorité de la droite passée par le sarkozysme a reniée avec le reste de l’héritage gaulliste.
Elisabeth Guigou, Présidente de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale, la majorité du groupe SRC, du groupe GDR et des Ecologistes font, eux, honneur à ce qu’a toujours été la voix singulière de la France au sein du camp occidental.
Cette résolution, quoiqu’en disent l’UMP et son Président de groupe, vient à point pour mettre le gouvernement face à ses responsabilités. Le MRC, par la voix de ses parlementaires, appuie de toutes ses forces la reconnaissance de l’Etat de Palestine sur les bases de la résolution de 1967. Contrairement aux arguments de mauvaise foi que l’on entend ici ou là, cette reconnaissance est une condition pour rétablir le processus de paix. Elle est de l’intérêt non seulement des deux peuples israélien et palestinien, mais du Moyen-Orient dans son ensemble, comme elle est de l’intérêt de notre pays lui-même.