A l’heure où les six chefs de la diplomatie (Etats-Unis, Royaume-Uni, Russie, France, Chine et Allemagne) sont réunis à Lausanne pour tenter de trouver une solution, la France s’isole par son jusqu’au-boutisme. Cette attitude est incompréhensible. Voudrions-nous mettre en difficulté le Président Obama dont l’attitude courageuse dans ce dossier se heurte à l’hyper conservatisme du Congrès que nous ne ferions pas mieux.
Alors que le Secrétaire d’Etat Américain John Kerry et le chef de la diplomatie allemande Frank Walter Steinmeier croient en la possibilité d’un compromis, faut-il que la diplomatie française joue les supplétives de Monsieur Netanyahu, adversaire acharné de cet accord ? En faisant alliance avec un Congrès américain qui persiste dans le conservatisme bushiste, au prix de tous les dangers pour le Moyen-Orient et par conséquent pour l’Europe, la France joue les apprentis sorciers.
A quoi joue donc Monsieur Fabius ?
Alors que le Secrétaire d’Etat Américain John Kerry et le chef de la diplomatie allemande Frank Walter Steinmeier croient en la possibilité d’un compromis, faut-il que la diplomatie française joue les supplétives de Monsieur Netanyahu, adversaire acharné de cet accord ? En faisant alliance avec un Congrès américain qui persiste dans le conservatisme bushiste, au prix de tous les dangers pour le Moyen-Orient et par conséquent pour l’Europe, la France joue les apprentis sorciers.
A quoi joue donc Monsieur Fabius ?