Le MRC de Jean-Pierre Chevènement s'est dit mercredi "totalement opposé" à la motion de censure de l'UMP dans laquelle il voit "un artifice" avec des "enjeux politiques internes".
Le MRC est "totalement opposé" à la motion de censure défendue dans l'après-midi par Jean-François Copé, écrit dans un communiqué Jean-Luc Laurent, président du mouvement républicain et citoyen (MRC).
Cette motion, "dont on peut aisément deviner les enjeux politiques internes, est un artifice qui laisse sceptique", ajoute-t-il.
"En qualifiant la politique de la majorité d'+échec total+, après seulement 10 mois de gouvernement, M. Copé et ses cosignataires montrent qu'ils n'ont toujours pas tiré les leçons de la présidence Sarkozy : gesticulations et court-termisme n'ont jamais servi l'intérêt de la France", estime M. Laurent.
"Le gouvernement s'est engagé sur la voie nécessairement difficile du redressement de notre pays", "nous soutenons cette stratégie", explique-t-il.
"Nous souhaitons davantage de réorientation de la construction européenne et encourageons le gouvernement à agir pour obtenir un changement des règles de fonctionnement de l'euro", nuance le dirigeant.
Mais "on ne peut corriger en un an les effets de la crise, ni ceux de dix ans de politique de droite", insiste M. Laurent.
Le MRC est "totalement opposé" à la motion de censure défendue dans l'après-midi par Jean-François Copé, écrit dans un communiqué Jean-Luc Laurent, président du mouvement républicain et citoyen (MRC).
Cette motion, "dont on peut aisément deviner les enjeux politiques internes, est un artifice qui laisse sceptique", ajoute-t-il.
"En qualifiant la politique de la majorité d'+échec total+, après seulement 10 mois de gouvernement, M. Copé et ses cosignataires montrent qu'ils n'ont toujours pas tiré les leçons de la présidence Sarkozy : gesticulations et court-termisme n'ont jamais servi l'intérêt de la France", estime M. Laurent.
"Le gouvernement s'est engagé sur la voie nécessairement difficile du redressement de notre pays", "nous soutenons cette stratégie", explique-t-il.
"Nous souhaitons davantage de réorientation de la construction européenne et encourageons le gouvernement à agir pour obtenir un changement des règles de fonctionnement de l'euro", nuance le dirigeant.
Mais "on ne peut corriger en un an les effets de la crise, ni ceux de dix ans de politique de droite", insiste M. Laurent.