Aujourd’hui 20 novembre, les personnels et les syndicats de l’Education nationale ont engagé une grève d’ampleur à laquelle le Mouvement Républicain et Citoyen apporte son plein et entier soutien.
Les suppressions de postes d’enseignants (près de 34.000 pour la période 2007-2009), l’absence de dialogue social, les réformes du collège et du lycée, des concours de recrutement, du statut d’enseignant chercheur et enfin, la remise en cause de la carte scolaire, portent gravement atteinte à l’école, institution majeure de l’Etat républicain.
La politique Sarkozy-Darcos, avance masquée : au delà des mots qui rappellent les grands principes et peuvent parfois être marqués par le bon sens, c’est un grave affaiblissement de l’école républicaine qui est engagé.
Jean-Luc Laurent, Secrétaire national du MRC et maire du Kremlin-Bicêtre exprime sa stupéfaction face aux propos du ministre de l’Education nationale qui juge utile de dénoncer une prétendue culture de la grève chez les enseignants : « Dans le prolongement de la loi sur le service minimum à l’école, il s’en prend désormais frontalement au droit de grève. Xavier Darcos lui fait preuve d’une certaine culture de la provocation. Les enseignants effectuent une tâche quotidienne précieuse. Il est temps de réaffirmer la grandeur de leur mission et de cesser ce type d’allégation coupable. »
Les suppressions de postes d’enseignants (près de 34.000 pour la période 2007-2009), l’absence de dialogue social, les réformes du collège et du lycée, des concours de recrutement, du statut d’enseignant chercheur et enfin, la remise en cause de la carte scolaire, portent gravement atteinte à l’école, institution majeure de l’Etat républicain.
La politique Sarkozy-Darcos, avance masquée : au delà des mots qui rappellent les grands principes et peuvent parfois être marqués par le bon sens, c’est un grave affaiblissement de l’école républicaine qui est engagé.
Jean-Luc Laurent, Secrétaire national du MRC et maire du Kremlin-Bicêtre exprime sa stupéfaction face aux propos du ministre de l’Education nationale qui juge utile de dénoncer une prétendue culture de la grève chez les enseignants : « Dans le prolongement de la loi sur le service minimum à l’école, il s’en prend désormais frontalement au droit de grève. Xavier Darcos lui fait preuve d’une certaine culture de la provocation. Les enseignants effectuent une tâche quotidienne précieuse. Il est temps de réaffirmer la grandeur de leur mission et de cesser ce type d’allégation coupable. »