En indiquant sur CNN qu’ « on ne peut pas continuer à pressurer des pays en pleine dépression » et qu’ « à un moment donné, il faut une stratégie de croissance pour pouvoir rembourser ses dettes », le Président Obama a mis le doigt sur le problème essentiel qui se pose en Europe.
Celui-ci tient non pas à la crise grecque qui n’en est qu’un effet parmi d’autres, certes plus visible, mais à l’austérité tous azimuts imposée aux pays de l’Union sans aucune perspective de relance, donc sans aucune perspective de recettes. Cette contradiction est simple à comprendre et Barack Obama nous la rappelle à juste titre. La surdité des dirigeants européens n’en devient que plus incompréhensible.
Oui, bien sûr la zone euro est d’abord devant un problème de relance. Jusqu’où la Commission et les Etats membres pousseront- ils un aveuglement suicidaire pour tout notre continent ?
Le MRC engage vivement le Président Hollande à peser pour une négociation entre les Etats de l’Eurogroupe, en s’appuyant non seulement sur la question grecque qui n’est qu’un des aspects de la crise de la zone euro mais sur le G8 qui, à plusieurs reprises, s’est inquiété de voir le continent européen doté d’une croissance anémiée. La porte est ouverte pour une nouvelle phase économique. La France est attendue : qu’attend-elle ?
Celui-ci tient non pas à la crise grecque qui n’en est qu’un effet parmi d’autres, certes plus visible, mais à l’austérité tous azimuts imposée aux pays de l’Union sans aucune perspective de relance, donc sans aucune perspective de recettes. Cette contradiction est simple à comprendre et Barack Obama nous la rappelle à juste titre. La surdité des dirigeants européens n’en devient que plus incompréhensible.
Oui, bien sûr la zone euro est d’abord devant un problème de relance. Jusqu’où la Commission et les Etats membres pousseront- ils un aveuglement suicidaire pour tout notre continent ?
Le MRC engage vivement le Président Hollande à peser pour une négociation entre les Etats de l’Eurogroupe, en s’appuyant non seulement sur la question grecque qui n’est qu’un des aspects de la crise de la zone euro mais sur le G8 qui, à plusieurs reprises, s’est inquiété de voir le continent européen doté d’une croissance anémiée. La porte est ouverte pour une nouvelle phase économique. La France est attendue : qu’attend-elle ?