L’accord d’étape conclu le 2 avril après 18 mois de tractations entre Téhéran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Chine et Allemagne) est une très bonne nouvelle pour un début d’apaisement des tensions au Moyen-Orient.
L’attitude du Président Obama doit être saluée car si les Etats-Unis en étaient restés à la période bushiste, un tel accord n’aurait pu voir le jour. Il reste maintenant à aboutir à l’accord final d’ici le 30 juin. Les détails techniques restants à régler sont certes nombreux mais ils ne devront pas servir de prétexte à la remise en cause de l’accord cadre.
A cet égard, nous appelons la diplomatie française à montrer autant de sens des responsabilités que l’a fait le Président Obama. Nous avons pu avoir quelques inquiétudes devant les pressions exercées par Monsieur Netanyahu sur le Quai d’Orsay. La France doit être un facteur de dynamique et non pas de blocage dans la suite des négociations qui s’engagent. Une politique déséquilibrée ne servirait pas, dans cette affaire comme ailleurs, la paix au Moyen-Orient dont l’Europe a tant besoin.
L’attitude du Président Obama doit être saluée car si les Etats-Unis en étaient restés à la période bushiste, un tel accord n’aurait pu voir le jour. Il reste maintenant à aboutir à l’accord final d’ici le 30 juin. Les détails techniques restants à régler sont certes nombreux mais ils ne devront pas servir de prétexte à la remise en cause de l’accord cadre.
A cet égard, nous appelons la diplomatie française à montrer autant de sens des responsabilités que l’a fait le Président Obama. Nous avons pu avoir quelques inquiétudes devant les pressions exercées par Monsieur Netanyahu sur le Quai d’Orsay. La France doit être un facteur de dynamique et non pas de blocage dans la suite des négociations qui s’engagent. Une politique déséquilibrée ne servirait pas, dans cette affaire comme ailleurs, la paix au Moyen-Orient dont l’Europe a tant besoin.