Les hausses annoncées par le ministre de l'écologie du tarif régulé de l'électricité de 5% au 1er août 2013 et 2014 sont lourdes de conséquences pour nos concitoyens : un nouvel effort leur est demandé dans un contexte de crise économique qui s'accélère et de chômage qui augmente.
Cette décision est toutefois à reconnaître comme responsable quant aux enjeux industriels majeurs auxquels doivent faire face la France et son électricien historique : la prise en compte de nouveaux critères de sûreté suite à la catastrophe du tsunami de Fukushima, la rénovation d'un appareil de production initié sous le Général de Gaulle nécessitent un tel investissement.
Il en va, en effet, de l'indépendance énergétique de la France, de notre propre capacité à accompagner la recherche et les progrès technologiques encore à réaliser ces prochaines décennies, pour une intégration efficace des énergies renouvelables et décarbonées au réseau électrique français.
Cet investissement productif se fera par essence sur le sol français et aura un effet positif, et sur l'emploi, et sur le développement de la filière nucléaire française.
En contrepartie, le Mouvement Républicain et Citoyen, fondé par Jean-Pierre Chevènement appelle le gouvernement à demander à l'électricien historique français, dans l'esprit de sa création sous le Conseil National de la Résistance, à ne plus procéder à l'avenir au versement de dividendes auprès de ses actionnaires.
Il serait inconcevable devant l'effort réalisé par nos concitoyens d'encourager la spéculation boursière sur un des fleurons de l'industrie française et les 2.5 milliards d'euros versés en dividendes pour l'année 2012 ont vocation à être utilisés eux-aussi à l'investissement productif et aux recrutements et à la rémunération nécessaires des agents des industries électriques et gazières afin de maintenir et développer l'excellence française dans ce secteur.
Cette décision est toutefois à reconnaître comme responsable quant aux enjeux industriels majeurs auxquels doivent faire face la France et son électricien historique : la prise en compte de nouveaux critères de sûreté suite à la catastrophe du tsunami de Fukushima, la rénovation d'un appareil de production initié sous le Général de Gaulle nécessitent un tel investissement.
Il en va, en effet, de l'indépendance énergétique de la France, de notre propre capacité à accompagner la recherche et les progrès technologiques encore à réaliser ces prochaines décennies, pour une intégration efficace des énergies renouvelables et décarbonées au réseau électrique français.
Cet investissement productif se fera par essence sur le sol français et aura un effet positif, et sur l'emploi, et sur le développement de la filière nucléaire française.
En contrepartie, le Mouvement Républicain et Citoyen, fondé par Jean-Pierre Chevènement appelle le gouvernement à demander à l'électricien historique français, dans l'esprit de sa création sous le Conseil National de la Résistance, à ne plus procéder à l'avenir au versement de dividendes auprès de ses actionnaires.
Il serait inconcevable devant l'effort réalisé par nos concitoyens d'encourager la spéculation boursière sur un des fleurons de l'industrie française et les 2.5 milliards d'euros versés en dividendes pour l'année 2012 ont vocation à être utilisés eux-aussi à l'investissement productif et aux recrutements et à la rémunération nécessaires des agents des industries électriques et gazières afin de maintenir et développer l'excellence française dans ce secteur.