A Gaza l'histoire se répète, plus sinistre à chaque renouveau d'un conflit alimenté de part et d'autres par des extrêmes franchissant à chaque étape un nouveau degré dans l’horreur.
Le MRC a toujours soutenu l’existence d'États viables au Moyen-Orient et celle de deux États en Israël et en Palestine.
Cependant, force est de se demander aujourd'hui si une intervention de l’ONU n'est pas devenue indispensable au titre de la "responsabilité de protéger" deux peuples : l'un martyrisé dans le présent et l'autre qui se trouve aujourd’hui devant un avenir qui est en train de devenir incertain.
Tant que chaque partie laissera faire ses intégristes de la haine, ce sont deux peuples qui resteront pris en otage : d’un côté le peuple palestinien dont les souffrances n'émeuvent qu'assez peu une "communauté internationale " plus regardante quand il s'agit d'autres parties du monde, de l’autre côté, le peuple israélien qui, sous le paravent d'une fausse sécurité, ne parviendra pas à assurer son avenir.
Faudra- t- il attendre cinquante ans de plus pour que l'histoire juge la démission des puissances en se demandant comment elles ont pu accepter que l'on en arrive là ?
Le MRC a toujours soutenu l’existence d'États viables au Moyen-Orient et celle de deux États en Israël et en Palestine.
Cependant, force est de se demander aujourd'hui si une intervention de l’ONU n'est pas devenue indispensable au titre de la "responsabilité de protéger" deux peuples : l'un martyrisé dans le présent et l'autre qui se trouve aujourd’hui devant un avenir qui est en train de devenir incertain.
Tant que chaque partie laissera faire ses intégristes de la haine, ce sont deux peuples qui resteront pris en otage : d’un côté le peuple palestinien dont les souffrances n'émeuvent qu'assez peu une "communauté internationale " plus regardante quand il s'agit d'autres parties du monde, de l’autre côté, le peuple israélien qui, sous le paravent d'une fausse sécurité, ne parviendra pas à assurer son avenir.
Faudra- t- il attendre cinquante ans de plus pour que l'histoire juge la démission des puissances en se demandant comment elles ont pu accepter que l'on en arrive là ?