Le candidat du MRC à la présidentielle Bastien Faudot a indiqué lundi qu'il ne participerait pas à la primaire ouverte de la gauche de gouvernement annoncée par le PS, qu'il juge "bricolée" et "tactique".
"J'entends porter au nom du MRC la candidature d'une gauche souverainiste, patriote et sociale, indépendamment de tout processus de primaire dont chacun mesure la nature exclusivement tactique", a déclaré dans un communiqué le jeune candidat du Mouvement républicain et citoyen créé par Jean-Pierre Chevènement qui l'a quitté depuis.
Le conseil national du PS a adopté samedi une résolution qui prévoit l'organisation, en janvier, d'une primaire ouverte aux acteurs de la Belle Alliance, c'est-à-dire au PS, au PRG et aux écologistes pro-gouvernement.
"Cette primaire prétend apporter une réponse au défi du rassemblement de la gauche. Or, la gauche a aujourd'hui moins besoin d'être rassemblée que de savoir où elle va", estime M. Faudot, jugeant qu'"aucune primaire bricolée ne répondra mieux à cette question que le 1er tour de la présidentielle".
"Après 4 années de faillite, notre responsabilité est de proposer une alternative solide. La crise politique exige le renouvellement du personnel politique et des idées. La crise économique et sociale impose de tirer les conséquences de l'échec de l'Europe intégrée. La crise de la société doit nous conduire à faire retour à la République", plaide ce conseiller départemental du Territoire de Belfort, qui a annoncé sa candidature début février.
"J'entends porter au nom du MRC la candidature d'une gauche souverainiste, patriote et sociale, indépendamment de tout processus de primaire dont chacun mesure la nature exclusivement tactique", a déclaré dans un communiqué le jeune candidat du Mouvement républicain et citoyen créé par Jean-Pierre Chevènement qui l'a quitté depuis.
Le conseil national du PS a adopté samedi une résolution qui prévoit l'organisation, en janvier, d'une primaire ouverte aux acteurs de la Belle Alliance, c'est-à-dire au PS, au PRG et aux écologistes pro-gouvernement.
"Cette primaire prétend apporter une réponse au défi du rassemblement de la gauche. Or, la gauche a aujourd'hui moins besoin d'être rassemblée que de savoir où elle va", estime M. Faudot, jugeant qu'"aucune primaire bricolée ne répondra mieux à cette question que le 1er tour de la présidentielle".
"Après 4 années de faillite, notre responsabilité est de proposer une alternative solide. La crise politique exige le renouvellement du personnel politique et des idées. La crise économique et sociale impose de tirer les conséquences de l'échec de l'Europe intégrée. La crise de la société doit nous conduire à faire retour à la République", plaide ce conseiller départemental du Territoire de Belfort, qui a annoncé sa candidature début février.