Les trois députés du MRC voteront jeudi une proposition de loi des radicaux de gauche proposant de revenir à une circonscription nationale unique pour les élections européennes, a annoncé mercredi l'un d'eux, Jean-Luc Laurent, président du mouvement.
Contrairement aux députés PS qui voteront contre cette proposition de loi, les trois députés MRC, apparentés au groupe Socialiste, Républicain et Citoyen (SRC), voteront donc le texte présenté par les radicaux de gauche, soulignant que "face à une situation européenne troublée, les Français ont besoin d'un débat franc et ouvert à toutes les forces politiques".
La proposition de loi rétablissant une circonscription unique pour les européennes a été rejetée la semaine dernière en commission des Lois de l'Assemblée, notamment par les socialistes.
Les prochaines élections européennes de 2014 devraient donc se faire à nouveau dans le cadre de huit grandes circonscriptions, un système en vigueur depuis 2003.
"Depuis dix ans et alors que les pouvoirs du Parlement ont été accrus, chaque élection européenne est une élection ratée et une occasion manquée : le débat est escamoté, la participation est faible", écrit Jean-Luc Laurent dans un communiqué. "L'organisation absurde en huit circonscriptions interrégionales a montré son inefficacité (...) Il faut en tirer les conséquences et redonner un cadre cohérent à cette élection importante", ajoute-t-il.
"Le gouvernement ne doit pas céder à la tentation de fuir le débat, guidé par la peur de la contestation extrémiste et du vote sanction", écrit encore le responsable du parti chevènementiste.
Contrairement aux députés PS qui voteront contre cette proposition de loi, les trois députés MRC, apparentés au groupe Socialiste, Républicain et Citoyen (SRC), voteront donc le texte présenté par les radicaux de gauche, soulignant que "face à une situation européenne troublée, les Français ont besoin d'un débat franc et ouvert à toutes les forces politiques".
La proposition de loi rétablissant une circonscription unique pour les européennes a été rejetée la semaine dernière en commission des Lois de l'Assemblée, notamment par les socialistes.
Les prochaines élections européennes de 2014 devraient donc se faire à nouveau dans le cadre de huit grandes circonscriptions, un système en vigueur depuis 2003.
"Depuis dix ans et alors que les pouvoirs du Parlement ont été accrus, chaque élection européenne est une élection ratée et une occasion manquée : le débat est escamoté, la participation est faible", écrit Jean-Luc Laurent dans un communiqué. "L'organisation absurde en huit circonscriptions interrégionales a montré son inefficacité (...) Il faut en tirer les conséquences et redonner un cadre cohérent à cette élection importante", ajoute-t-il.
"Le gouvernement ne doit pas céder à la tentation de fuir le débat, guidé par la peur de la contestation extrémiste et du vote sanction", écrit encore le responsable du parti chevènementiste.