Les Français ont majoritairement choisi Emmanuel Macron. C'est un choix de raison face au projet insensé que portait la candidate d'extrême-droite.
L'écart important de voix entre les deux candidats est une bonne nouvelle : l’entre-deux-tours de l'élection présidentielle a permis de dévoiler l’imposture du Front national. La médiocrité et la volonté de tout abaisser, tout salir, ne peuvent prétendre diriger le pays. La souveraineté, populaire et nationale, est une question centrale qui ne mérite pas d’être abandonnée à l’extrême droite.
Emmanuel Macron est élu ce soir mais chacun sait qu'il a bénéficié d’un vote par défaut, dépourvu d'élan, d'enthousiasme et d'espoir ; le taux d'abstention très élevé pour un second tour d’élection présidentielle le montre, l'explosion des votes blancs et nuls également. Un immense défi se trouve maintenant devant lui : la majorité de nos compatriotes ne se reconnait pas dans le programme social-libéral qu’il a porté. Il ne s’agira pas de chercher à convaincre à tout prix ou de se réfugier derrière une nécessaire pédagogie, encore moins de brutaliser, mais d’entendre les craintes et la colère nées de décennies de crise.
La gauche républicaine et souverainiste mènera la bataille des législatives pour faire entendre la voix de la France que l'on n'écoute pas. Le score historique de l'extrême-droite doit être entendu comme l'ultime avertissement dans une France désormais fracturée qu'il s'agit de réconcilier.
Les forces de gauche ont l'obligation de changer désormais les figures, les pratiques et les idées pour penser dès à présent leur nécessaire reconstruction. Le MRC sera pleinement acteur de cette campagne en présentant des candidatures d’union partout où cela est possible, ainsi que des candidatures autonomes là où le message de la gauche républicaine doit se faire entendre.
L'écart important de voix entre les deux candidats est une bonne nouvelle : l’entre-deux-tours de l'élection présidentielle a permis de dévoiler l’imposture du Front national. La médiocrité et la volonté de tout abaisser, tout salir, ne peuvent prétendre diriger le pays. La souveraineté, populaire et nationale, est une question centrale qui ne mérite pas d’être abandonnée à l’extrême droite.
Emmanuel Macron est élu ce soir mais chacun sait qu'il a bénéficié d’un vote par défaut, dépourvu d'élan, d'enthousiasme et d'espoir ; le taux d'abstention très élevé pour un second tour d’élection présidentielle le montre, l'explosion des votes blancs et nuls également. Un immense défi se trouve maintenant devant lui : la majorité de nos compatriotes ne se reconnait pas dans le programme social-libéral qu’il a porté. Il ne s’agira pas de chercher à convaincre à tout prix ou de se réfugier derrière une nécessaire pédagogie, encore moins de brutaliser, mais d’entendre les craintes et la colère nées de décennies de crise.
La gauche républicaine et souverainiste mènera la bataille des législatives pour faire entendre la voix de la France que l'on n'écoute pas. Le score historique de l'extrême-droite doit être entendu comme l'ultime avertissement dans une France désormais fracturée qu'il s'agit de réconcilier.
Les forces de gauche ont l'obligation de changer désormais les figures, les pratiques et les idées pour penser dès à présent leur nécessaire reconstruction. Le MRC sera pleinement acteur de cette campagne en présentant des candidatures d’union partout où cela est possible, ainsi que des candidatures autonomes là où le message de la gauche républicaine doit se faire entendre.