Samedi, nous avons appris le décès de François Delapierre, militant infatigable, pilier du Parti de Gauche et conseiller régional d’Ile-de-France. Qu'elle est triste et injuste, la mort d’un homme jeune qui a consacré tant d’intelligence et d’énergie à la vie publique.
Nous nous sommes croisés plusieurs fois au milieu des années 2000. Il n’avait pas encore fait le choix difficile de quitter le Parti Socialiste pour fonder le Parti de Gauche avec Jean-Luc Mélenchon. Je garde le souvenir d'un homme engagé qui ne voulait pas subir la dérive idéologique de la gauche.
Nous nous sommes côtoyés comme militants et responsables politiques puis revus plus tard, au conseil régional.
Les « apparatchiks », ces militants professionnels, dont on fait un peu facilement le procès, ne sont pas tous des hommes creux et interchangeables: François Delapierre en était la preuve.
J’adresse des pensées fraternelles à ses camarades, sa famille et ses proches.
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Réaction de Jean-Marc Nicolle, conseiller régional (MRC) d'Ile-de-France, délégué spécial au Grand Paris
François Delapierre est décédé samedi matin à un âge où beaucoup d'entre nous commencent leur vie politique. C'est avec regret que j'ai appris cette nouvelle. Même si son militantisme a débuté très jeune, son activité politique prend une fin prématurée.
Il siégeait comme moi sur les bancs de l'hémicycle du Conseil régional d'Ile-de-France depuis 2010. Beaucoup de sujets nous opposaient, mais les grandes valeurs de la gauche républicaine nous rapprochaient. Nous avions pu nous retrouver sur des propositions que les élus MRC défendaient au Conseil Régional, comme le prêt citoyen ou la tarification unique des transports en commun.
Son engagement pour un monde plus juste guidait son militantisme. Mes pensées vont à ses proches.
Nous nous sommes croisés plusieurs fois au milieu des années 2000. Il n’avait pas encore fait le choix difficile de quitter le Parti Socialiste pour fonder le Parti de Gauche avec Jean-Luc Mélenchon. Je garde le souvenir d'un homme engagé qui ne voulait pas subir la dérive idéologique de la gauche.
Nous nous sommes côtoyés comme militants et responsables politiques puis revus plus tard, au conseil régional.
Les « apparatchiks », ces militants professionnels, dont on fait un peu facilement le procès, ne sont pas tous des hommes creux et interchangeables: François Delapierre en était la preuve.
J’adresse des pensées fraternelles à ses camarades, sa famille et ses proches.
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Réaction de Jean-Marc Nicolle, conseiller régional (MRC) d'Ile-de-France, délégué spécial au Grand Paris
François Delapierre est décédé samedi matin à un âge où beaucoup d'entre nous commencent leur vie politique. C'est avec regret que j'ai appris cette nouvelle. Même si son militantisme a débuté très jeune, son activité politique prend une fin prématurée.
Il siégeait comme moi sur les bancs de l'hémicycle du Conseil régional d'Ile-de-France depuis 2010. Beaucoup de sujets nous opposaient, mais les grandes valeurs de la gauche républicaine nous rapprochaient. Nous avions pu nous retrouver sur des propositions que les élus MRC défendaient au Conseil Régional, comme le prêt citoyen ou la tarification unique des transports en commun.
Son engagement pour un monde plus juste guidait son militantisme. Mes pensées vont à ses proches.