La motion de censure déposée par Jean-François Copé sera soumise au vote ce mercredi 20 mars. Le MRC y est totalement opposé.
Cette motion de l’UMP, dont on peut aisément deviner les enjeux politiques internes, est un artifice qui laisse sceptique.
En qualifiant la politique de la majorité d’ « échec total », après seulement 10 mois de gouvernement, M. Copé et ses cosignataires montrent qu’ils n’ont toujours pas tiré les leçons de la présidence Sarkozy : gesticulations et court-termisme n’ont jamais servi l’intérêt de la France.
Le gouvernement s’est engagé sur la voie nécessairement difficile du redressement de notre pays par la remise sur pied de notre appareil productif, le retour à une juste répartition de l’effort fiscal, la refondation de l’école et le développement du dialogue social. Nous soutenons cette stratégie.
Pour réussir le redressement dans la justice, nous souhaitons davantage de réorientation de la construction européenne et encourageons le gouvernement à agir pour obtenir un changement des règles de fonctionnement de l’euro.
On ne peut corriger en un an les effets de la crise, ni ceux de 10 ans de politique de droite.
Ce sont les résultats obtenus au terme du quinquennat qui devront être jugés. Les Français l’ont bien compris, contrairement à M. Copé. Les députés MRC seront présents pour le rappeler.
Cette motion de l’UMP, dont on peut aisément deviner les enjeux politiques internes, est un artifice qui laisse sceptique.
En qualifiant la politique de la majorité d’ « échec total », après seulement 10 mois de gouvernement, M. Copé et ses cosignataires montrent qu’ils n’ont toujours pas tiré les leçons de la présidence Sarkozy : gesticulations et court-termisme n’ont jamais servi l’intérêt de la France.
Le gouvernement s’est engagé sur la voie nécessairement difficile du redressement de notre pays par la remise sur pied de notre appareil productif, le retour à une juste répartition de l’effort fiscal, la refondation de l’école et le développement du dialogue social. Nous soutenons cette stratégie.
Pour réussir le redressement dans la justice, nous souhaitons davantage de réorientation de la construction européenne et encourageons le gouvernement à agir pour obtenir un changement des règles de fonctionnement de l’euro.
On ne peut corriger en un an les effets de la crise, ni ceux de 10 ans de politique de droite.
Ce sont les résultats obtenus au terme du quinquennat qui devront être jugés. Les Français l’ont bien compris, contrairement à M. Copé. Les députés MRC seront présents pour le rappeler.