La Grande-Bretagne a choisi de sortir de l’Union européenne à l’issue d’un débat sérieux. La procédure est admirable et le résultat consacre un choix de liberté qui doit être absolument respecté. Ni l’Union européenne ni les Etats membres ne doivent se mettre en tête de faire payer ou punir la Grande-Bretagne. La construction européenne a beau être fâchée avec la démocratie: la Grande-Bretagne ne revotera pas !
L’Union européenne, cette machine à avancer perpétuellement, en contournant les obstacles démocratiques si nécessaire, connait un coup d’arrêt majeur. C’est une bonne nouvelle pour la France comme pour l’ensemble des Etats membres.
La France doit être à l’avant-garde de la négociation avec Londres pour organiser une sortie juste et efficace de l’Union européenne.. La Grande-Bretagne est un pays voisin, ami et allié, une grande nation européenne souvent à l’avant-garde de la liberté et la France doit avoir le souci de préserver la relation franco-britannique et jeter les bases d’un futur partenariat UE-Grande-Bretagne
La France est marginalisée sur la scène européenne. Après les années d’agitation suiviste de Nicolas Sarkozy, François Hollande est sur la défensive depuis son refus de renégocier le traité d’austérité TSCG en 2012 et sa soumission au carcan budgétaire et monétaire imposé par Bruxelles et Berlin, relayé par Bercy.
L’Europe du « surveiller et punir » produit la récession, le chômage et le recul des coopérations et des solidarités. La crise explose à la périphérie mais elle est brûlante dans tous les Etats membres.
Il serait bon que le Conseil européen ne perde pas trop de temps en essayant d’habiller en « relance » ce qui constitue une crise majeure.
L’Union européenne, cette machine à avancer perpétuellement, en contournant les obstacles démocratiques si nécessaire, connait un coup d’arrêt majeur. C’est une bonne nouvelle pour la France comme pour l’ensemble des Etats membres.
La France doit être à l’avant-garde de la négociation avec Londres pour organiser une sortie juste et efficace de l’Union européenne.. La Grande-Bretagne est un pays voisin, ami et allié, une grande nation européenne souvent à l’avant-garde de la liberté et la France doit avoir le souci de préserver la relation franco-britannique et jeter les bases d’un futur partenariat UE-Grande-Bretagne
La France est marginalisée sur la scène européenne. Après les années d’agitation suiviste de Nicolas Sarkozy, François Hollande est sur la défensive depuis son refus de renégocier le traité d’austérité TSCG en 2012 et sa soumission au carcan budgétaire et monétaire imposé par Bruxelles et Berlin, relayé par Bercy.
L’Europe du « surveiller et punir » produit la récession, le chômage et le recul des coopérations et des solidarités. La crise explose à la périphérie mais elle est brûlante dans tous les Etats membres.
Il serait bon que le Conseil européen ne perde pas trop de temps en essayant d’habiller en « relance » ce qui constitue une crise majeure.