Le MRC estime que la loi présentée par le ministre de l’Intérieur et votée par la majorité répond à une réforme devenue urgente et nécessaire.
Urgente parce que faute de places d’accueil et de moyens donnés à l’office en charge d’examiner le cas des demandeurs, le nombre de déboutés ne cessait d’augmenter depuis plusieurs années, conduisant à des situations intenables qui cristallisaient des situations de non-droit et rendaient impossible toute gestion raisonnable.
Cette réforme était également nécessaire pour arriver à un système équilibré, renforçant les droits à faire valoir les demandes d’asile tout en permettant, par des procédures appropriées, de rejeter les nombreuses demandes sans fondement qui aujourd’hui engorgent le système au détriment des réfugiés méritant vraiment ce nom.
Faire plus vite et faire mieux, en quantité comme en qualité, voilà ce que doit permettre la réforme, avec un accueil mieux réparti sur le territoire et des procédures plus efficaces.
Si la France accueille moins de réfugiés que d’autres pays européens, elle se doit néanmoins de faire vivre une tradition républicaine scellée dans sa Constitution, en sachant l’adapter aux défis d’un monde marqué par l’éclatement d’Etats-nations sur fond d’une mondialisation que nul ne maîtrise.
Urgente parce que faute de places d’accueil et de moyens donnés à l’office en charge d’examiner le cas des demandeurs, le nombre de déboutés ne cessait d’augmenter depuis plusieurs années, conduisant à des situations intenables qui cristallisaient des situations de non-droit et rendaient impossible toute gestion raisonnable.
Cette réforme était également nécessaire pour arriver à un système équilibré, renforçant les droits à faire valoir les demandes d’asile tout en permettant, par des procédures appropriées, de rejeter les nombreuses demandes sans fondement qui aujourd’hui engorgent le système au détriment des réfugiés méritant vraiment ce nom.
Faire plus vite et faire mieux, en quantité comme en qualité, voilà ce que doit permettre la réforme, avec un accueil mieux réparti sur le territoire et des procédures plus efficaces.
Si la France accueille moins de réfugiés que d’autres pays européens, elle se doit néanmoins de faire vivre une tradition républicaine scellée dans sa Constitution, en sachant l’adapter aux défis d’un monde marqué par l’éclatement d’Etats-nations sur fond d’une mondialisation que nul ne maîtrise.