Alstom est en bonne santé, même si le groupe rencontre des difficultés stratégiques et que son principal marché, l’Europe de l’austérité, stagne.
L’intégration d’Alstom au sein de General Electric comme le mariage brusqué avec Siemens porteraient un coup fatal à un pan entier de notre industrie qui assure, entre autres, l’indépendance de la filière électronucléaire. Ces deux mauvaises solutions n’ont pour but que de soulager quelques actionnaires pressés et dégager le management du groupe de ses responsabilités.
Dans le secteur stratégique de l’énergie, cette affaire teste notre capacité à traduire en actes le volontarisme économique et éviter le départ des centres de décision du groupe.
La fuite en avant négociée par M.Kron doit être mise en échec par le gouvernement et, à court terme, une participation de l’Etat pourrait remplacer les actionnaires défaillants. Le Ministère de l’Economie a la responsabilité de faire émerger une solution alternative indépendante autour de groupes français comme Areva ou Safran.
L’intégration d’Alstom au sein de General Electric comme le mariage brusqué avec Siemens porteraient un coup fatal à un pan entier de notre industrie qui assure, entre autres, l’indépendance de la filière électronucléaire. Ces deux mauvaises solutions n’ont pour but que de soulager quelques actionnaires pressés et dégager le management du groupe de ses responsabilités.
Dans le secteur stratégique de l’énergie, cette affaire teste notre capacité à traduire en actes le volontarisme économique et éviter le départ des centres de décision du groupe.
La fuite en avant négociée par M.Kron doit être mise en échec par le gouvernement et, à court terme, une participation de l’Etat pourrait remplacer les actionnaires défaillants. Le Ministère de l’Economie a la responsabilité de faire émerger une solution alternative indépendante autour de groupes français comme Areva ou Safran.