En faisant adopter par le Bureau National de l’UMP le nouveau nom « Les Républicains », Nicolas Sarkozy a prouvé que l’idée même de ce qu’est la République lui échappait. Comment ce qui constitue notre bien commun pourrait faire l’objet d’une appropriation par un parti politique ?
Il existe une différence majeure entre l’attachement et la préemption, entre l’adhésion et la privatisation. Si nous sommes tous attaché à la République, aucun d’entre nous n’en est propriétaire.
Par cette entreprise grossière de marketing politique, reléguant les principes et valeurs au rang de marques, Nicolas Sarkozy affaiblit ce que la communauté des citoyens a de plus précieux et ce qui fait l’identité de la France contemporaine. A l’irresponsabilité, il ajoute le ridicule par un mimétisme de la vie politique américaine, cadre de référence de celui qui, en tant que Président, a brillé par son atlantisme.
Le MRC s’oppose fermement à cette démarche dangereuse et a décidé de s’associer à l’action en justice du collectif « Nous sommes les Républicains » pour obtenir la nullité de la marque Les Républicains.
Il existe une différence majeure entre l’attachement et la préemption, entre l’adhésion et la privatisation. Si nous sommes tous attaché à la République, aucun d’entre nous n’en est propriétaire.
Par cette entreprise grossière de marketing politique, reléguant les principes et valeurs au rang de marques, Nicolas Sarkozy affaiblit ce que la communauté des citoyens a de plus précieux et ce qui fait l’identité de la France contemporaine. A l’irresponsabilité, il ajoute le ridicule par un mimétisme de la vie politique américaine, cadre de référence de celui qui, en tant que Président, a brillé par son atlantisme.
Le MRC s’oppose fermement à cette démarche dangereuse et a décidé de s’associer à l’action en justice du collectif « Nous sommes les Républicains » pour obtenir la nullité de la marque Les Républicains.