AREVA a rendu publiques aujourd’hui des pertes colossales pour l’exercice 2014. Cette opération-vérité doit marquer un nouveau départ pour ce grand groupe industriel français.
Des mauvais choix, des stratégies conflictuelles, des avanies industrielles et les conséquences de l’accident nucléaire de Fukushima expliquent la situation difficile de l’entreprise.
Dans la crise, il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain par la casse sociale ou par celle de l’outil industriel. L’Etat, actionnaire à 87%, doit maintenant prendre ses responsabilités pour soutenir ce maillon essentiel de l’industrie nucléaire française et faciliter le rapprochement avec EDF.
Des mauvais choix, des stratégies conflictuelles, des avanies industrielles et les conséquences de l’accident nucléaire de Fukushima expliquent la situation difficile de l’entreprise.
Dans la crise, il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain par la casse sociale ou par celle de l’outil industriel. L’Etat, actionnaire à 87%, doit maintenant prendre ses responsabilités pour soutenir ce maillon essentiel de l’industrie nucléaire française et faciliter le rapprochement avec EDF.